Dans un rĂ©cit, il est frĂ©quent de voir des personnages qui parlent. Mais il nây a pas quâune seule maniĂšre dâinsĂ©rer ces dialogues ou rĂ©flexions prononcĂ©es Ă voix haute, de rapporter ces paroles. Il existe en effet trois façons diffĂ©rentes dâintroduire les paroles rapportĂ©es et chacune entraine un effet particulier sur le lecteur. Avant de commencer lâexplication des trois sortes de discours ou paroles rapportĂ©s, une chose est Ă retenir il ne faut pas confondre les paroles rapportĂ©es dans un rĂ©cit et le théùtre, qui est un genre Ă part entiĂšre oĂč prĂ©domine les dialogues. Nous parlons bien ici de rĂ©cit, câest-Ă -dire dâune histoire qui est racontĂ©e par un narrateur, avec lâintervention de personnages qui, de temps en temps, sâexpriment. Dans une piĂšce de théùtre, câest lâensemble de lâhistoire qui se construit Ă travers les dialogues des personnages, contrairement au rĂ©cit roman, conte, nouvelle⊠qui prĂ©sente des Ă©vĂ©nements et des actions racontĂ©s le plus souvent au passĂ© passĂ© simple et imparfait par un narrateur. Les paroles rapportĂ©es y sont minoritaires en gĂ©nĂ©ral par rapport Ă la narration. I. Les paroles rapportĂ©es au style direct On parle de style direct quand les paroles sont rapportĂ©es directement, câest-Ă -dire sans filtre du narrateur, sans quâil intervienne dâune maniĂšre ou dâune autre. Dans ce cas, ce que dit le personnage est encadrĂ© de guillemets voir exemple 1. Si plusieurs personnages parlent ensemble, on aura recours Ă des tirets, avec les guillemets seulement au dĂ©but et Ă la fin de leur Ă©change/dialogue voir exemple 2. La ponctuation du dialogue est importante car elle permet de comprendre qui parle. Exemple 1 Nadine nâĂ©tait pas du tout dâaccord avec moi. Sa colĂšre Ă©tait visible. Incapable de se contenir, elle sâĂ©cria* Jamais, tu mâentends, jamais je ne reviendrai en arriĂšre ! ». Jâessayai encore de la convaincre de bien rĂ©flĂ©chir aux consĂ©quences. Exemple 2 Nadine nâĂ©tait pas du tout dâaccord avec moi. Sa colĂšre Ă©tait visible. Incapable de se contenir, elle sâĂ©cria* â Jamais, tu mâentends, jamais je ne reviendrai en arriĂšre !Tu devrais rĂ©flĂ©chir encore un peu. Les consĂ©quences pourraient ĂȘtre terribles. â Non, je ne changerai pas dâavis, quoi quâil arrive ! »Vaincu, je nâinsistai pas davantage*. *les parties en italique correspondent au rĂ©cit. Ce qui nâest pas en italique est du discours, câest-Ă -dire des paroles rapportĂ©es, ici au style direct. Avec les paroles rapportĂ©es au style direct, tout se passe comme si le lecteur entendait le personnage parler, comme sâil Ă©tait Ă ses cĂŽtĂ©s. Cela rend le rĂ©cit plus vivant. Le langage oral permet aussi de mettre en Ă©vidence la personnalitĂ© du personnage son vocabulaire, sa syntaxe, ses habitudes et tics de langage, ses exclamations, etc..On utilise des verbes de parole dire, sâĂ©crier, murmurer, rugir, rĂ©pondre, demander, clamer, chuchoter, claironner, etc. pour prĂ©ciser la maniĂšre dont sont prononcĂ©es ces paroles. II. Les paroles rapportĂ©es au style indirect On parle de style indirect quand les paroles sont rapportĂ©es indirectement par le narrateur, qui les intĂšgre Ă son rĂ©cit avec âą Un verbe de paroleâą Une proposition subordonnĂ©e. Dans ce cas, il nây a pas de ponctuation spĂ©cifique Ă utiliser. Exemple Nadine nâĂ©tait pas du tout dâaccord avec moi. Sa colĂšre Ă©tait visible. Incapable de se contenir, elle sâĂ©cria que jamais elle ne reviendrait en arriĂšre. Jâessayai encore de la convaincre de bien rĂ©flĂ©chir aux consĂ©quences. La structure de paroles rapportĂ©es au style indirect est donc verbe de parole conjuguĂ© + que ou un autre mot subordonnant + les paroles prononcĂ©es par le personnage en respectant la concordance des temps. Le style indirect est moins vivant, moins rĂ©vĂ©lateur que le style direct, mais il permet dâinsĂ©rer quelques paroles de maniĂšre Ă©lĂ©gante sans interrompre le rythme du rĂ©cit. On ne lâutilise jamais pou un dialogue entre deux personnes, mais seulement pour rapporter les paroles dâun seul personnage. Le style indirect retranscrit fidĂšlement les paroles du personnages seul le temps des verbes est modifiĂ©. Attention ! les marques de temps ne sont pas les mĂȘmes au discours direct aujourdâhui, demain, hier quâau discours indirect ce jour-lĂ , le lendemain, la veille. III. Les paroles rapportĂ©es au style indirect libre Il existe une troisiĂšme façon de rapporter des paroles dans un rĂ©cit câest le style indirect libre. Il est moins aisĂ©ment reconnaissable que le style direct et le style indirect car il nây a aucune marque de ponctuation spĂ©cifique, ni de verbe de parole, ni de subordination. Tout se passe comme si le lecteur pouvait lire dans les pensĂ©es de celui qui parle. Le locuteur celui qui parle nâest pas identifiĂ© de maniĂšre prĂ©cise, le discours est totalement intĂ©grĂ© Ă la narration. Le style indirect libre est utilisĂ© principalement dans les rĂ©cits littĂ©raires et pour les monologues intĂ©rieurs quand le personnage se parle dans sa tĂȘte. Exemple Nadine nâĂ©tait pas du tout dâaccord avec moi. Sa colĂšre Ă©tait visible. Elle ne reviendrait pas en arriĂšre. Jâessayai encore de la convaincre de bien rĂ©flĂ©chir aux consĂ©quences mais il nâĂ©tait pas question pour elle de changer dâavis. Vaincu, je nâinsistai pas davantage. Dans cet exemple, tout ce qui est en gras relĂšve du discours indirect libre on peut imaginer ce que disent les deux personnages et le transposer au style direct ou indirect mais aucune marque formelle du texte ne signale quâil sâagit de paroles rapportĂ©es. On retrouve parfois des expressions typiques de lâoralitĂ© dans le discours indirect libre, comme dans lâexemple suivant extrait de Tropismes, de Nathalie Sarraute Elle se tenait assise, les mains croisĂ©es sur son sac assorti, souriante, hochant la tĂȘte, apitoyĂ©e, oui, bien sĂ»r elle avait entendu raconter, elle savait comme lâagonie de leur grand-mĂšre avait durĂ©, câest quâelle Ă©tait si forte, pensez donc, elle avait conservĂ© toutes ses dents Ă son Ăąge⊠Et Madeleine ? Ah, les hommes, sâils pouvaient mettre au monde des enfants, ils nâen auraient quâun seul, bien sĂ»r, ils ne recommenceraient pas deux fois, sa mĂšre, la pauvre femme, le rĂ©pĂ©tait toujours. ». Il existe une quatriĂšme forme de paroles rapportĂ©es le discours narrativisĂ©. Dans ce cas les paroles du personnage sont rĂ©sumĂ©es et on ne peut pas les transposer au style direct car on en ignore le contenu Elle sâest dĂ©barrassĂ©e de sa jaquette, sâest assise et a consultĂ© fiĂ©vreusement la carte. Elle a appelĂ© CĂ©leste et a commandĂ© immĂ©diatement tous ses plats dâune voix Ă la fois prĂ©cise et prĂ©cipitĂ©e » extrait de LâĂ©tranger de Camus. Exercices sur les paroles rapportĂ©es 1 Identifier le style de parole rapportĂ©e dans chacune des phrases suivantes âą Les infos ont annoncĂ© quâĂ partir de ce jour-lĂ le prix des produits laitiers allait augmenter.âą Papa mâa dit » Fais attention Ă ta cheville, tu tâes dĂ©jĂ fais mal en jouant au foot. »⹠Ma sĆur a souhaitĂ© que je mâen aille.âą Suzy mâa informĂ© quâelle ne devait pas ĂȘtre lĂ mais quâelle Ă©tait venue pour moi.âą La classe intriguĂ©e a voulu en savoir davantage. Quâallaient-ils faire ?âą Le libraire mâa assurĂ© que je trouverais ce livre passionnant.âą Je lui ai rĂ©pondu » Câest toi qui as une tĂȘte de martien ! âą Mon pĂšre proposa de couper la volaille. Ce nâĂ©tait quand mĂȘme pas bien difficile !âą Nos parents nous ont laissĂ© un message ! » cria-t-il.âą Le roi a demandĂ© au marĂ©chal ce quâil pensait de ce madrigal. 2 Transposez les phrases suivantes au style direct.âą Elise rĂ©pondit quâelle acceptait bien volontiers cette invitation.âą Le roi avait insistĂ© pour que tous les convives participent au banquet du lendemain, qui rĂ©serverait bien des surprises.âą Nous Ă©tions surpris et demandĂąmes au maitre des lieux de nous fournir des explications.âą Alexandre en Ă©tait absolument certain sâil Ă©tait riche, il saurait bien quoi faire de cet argent !âą â Alors lâhomme reconnut une fosse. Il fut repris de honte Ă quoi bon ? Il nây aurait pas de travail. â extrait de Lâassommoir, Emile Zola, 1876 3 Transposez les phrases ou passages suivants au style indirect.âą â Monsieur vous attend, Madame ; la soupe est servie. Et il fallut descendre ! il fallut se mettre Ă table ! Flaubert, Madame Bovary, 1857âą Quâallait-il dire ? Il ne trouvait plus rien maintenant de ce quâil avait racontĂ© tout Ă lâheure, pas une anecdote, pas un fait, rien. Tout Ă coup, il pensa Il faut que je dĂ©bute par mon dĂ©part ». extrait de Bel-Ami de Maupassant.âą Il me dit Ne vous livrez pas trop au chagrin ; je suis disposĂ© Ă vous rendre service ». TĂ©lĂ©charger la correction des exercices ici.Ilfaut que je mâ en aille OĂč est mon J'mets ma Pour faire des pirouettes (*refrain) Pour aller dehors Quand il vente fort J'mets mon chaud Et mon beau (*refrain) Pour aller au lit J'mets ma robe de nuit Moi mon Je suis bien comme ça (*refrain) bas culotte salopette (paroles de Passe-Partout) chandail manteau chapeau pyjama. Title: Cherche et trouve
Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Cours AstronomieInvitĂ© Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 1908 Les choses pouvaient commencer... Elles allaient bientĂŽt commencer... Non, en fait elles Ă©taient en train de commencer le cours dĂ©marrait dans dix minutes. Ce n'Ă©tait pas le contenu qui dĂ©rangeait Rurik, plutĂŽt la forme. GĂ©rer environ une quinzaine de gosses lui semblait ĂȘtre une tĂąche insurmontable. Pendant un instant, il songea plutĂŽt Ă s'enfuir et retourner en Russie son groupe de mafieux Ă©tait beaucoup plus simple Ă orchestrer, car il avait le droit de les faire souffrir s'ils n'obĂ©issaient pas, il avait tous les c'Ă©tait Ă coup de retenues et de points en moins... Haha... TrĂšs drĂŽle. Certains insolents mĂ©ritaient bien un crochet du droit dans la mĂąchoire. Peut ĂȘtre que la directrice pouvait lui donner cette les Ă©paules d'un air blasĂ©, l'imposant sorcier traversa la salle de classe d'un pas rapide. Tout le monde devait s'attendre Ă ce qu'il soit bien habillĂ©, en blouse de mĂ©decin, avec peut-ĂȘtre un stĂ©thoscope autour du cou du moins si les nĂ©s-sorciers connaissaient l'existence de cet instrument, mais ce n'Ă©tait pas le cas les professeurs n'avaient pas d'uniforme obligatoire, il n'Ă©tait pas Ă Sainte-Mangouste, il Ă©tait "libre". Rurik avait donc optĂ© pour un simple pantalon en toile sombre, des chaussures du mĂȘme ton mais de facture militaire il ne s'en lassait pas... c'Ă©tait toujours pratique pour Ă©craser des visages... , et enfin, une large chemise vert foncĂ© qui ne faisait pas vraiment "large" une fois enfilĂ©e. C'Ă©tait ça d'ĂȘtre au delĂ du traditionnel XXL Ă cause de sa carrure. Ouvrant la porte pour laisser les Ă©lĂšves entrer et s'installer, il se passa une main sur le visage...** Ta baguette, Rurik, ta baguette ! ** russe n'Ă©tait pas un adepte de la magie comme esclave lorsqu'il pouvait gĂ©nĂ©ralement se lever et aller faire lui mĂȘme quelque chose. Jamais il ne se laisserait aller au point de devenir un gros sorcier bedonnant qui suait au moindre mouvement de bras. Inconsciemment, peut ĂȘtre que ces trois annĂ©es d'entraĂźnements extrĂȘmes, suivis de toute une vie d'exercices intensifs au quotidien Ă©tait un moyen d'Ă©viter de devenir ainsi... une sorte de phobie du sort, il pointa sa baguette sur le tableau qui faisait face Ă toutes les places assises MĂ©dicomagieBases sur les blessures physiquesHistoire de... Rappeler aux Ă©lĂšves qu'ils n'Ă©taient pas en cours de Botanique ? Traversant Ă nouveau la salle pour retourner se placer Ă cĂŽtĂ© du tableau, il nota un dĂ©tail particulier il y a avait une table en trop. Ces elfes de maison n'avaient rien compris, pour changer... Trop occupĂ©s Ă faire des rĂ©vĂ©rences et baragouiner des mots gentils pour Ă©couter correctement ce qu'on leur demandait. Bah, pour changer, on fait tout soi-mĂȘme... » cela le mettait de bonne humeur devoir pallier Ă quelques petits soucis dans le genre ne le dĂ©rangeait pas plus que ça, au contraire. Sans le moindre effort, il attrapa la table et la souleva, allant la poser non loin du tableau ça lui servirait sans doute. S'Ă©tirant briĂšvement les Ă©paules, il songea qu'en fait, il lui fallait juste un peu d'exercice matinal pour se dĂ©tendre. Le professeur nota ceci dans un coin de sa tĂȘte, afin d'y penser le lendemain retournant vers la porte, il vit qu'il n'Ă©tait plus seul des Ă©lĂšves venaient tout juste d'arriver, n'ayant sans doute rien ratĂ© de son petit numĂ©ro de dĂ©mĂ©nagement "Ă la moldue". Tiens, bonjour Ă vous, vous n'ĂȘtes pas en retard, au contraire, installez-vous... On va attendre les autres. »Sa voix demeura grave, rocailleuse et toujours aussi marquĂ©e par son accent russe. La tentative pour paraĂźtre moins intimidant venait donc d'Ă©chouer lamentablement. C'Ă©tait mieux ainsi, au moins il n'avait pas Ă prendre la peine de porter un masque de bienveillance ou toutes ces bĂȘtises dans le genre. Il Ă©tait lĂ pour enseigner, ils Ă©taient lĂ pour l'instant, la salle de cours Ă©tait basique, des tables, des chaises, un tableau... La partie thĂ©orique allait passer en premier, afin de garder "le meilleur pour la fin". En attendant, lui s'Ă©tait assis sur la table qu'il venait de dĂ©placer, les bras croisĂ©s, guettant l'arrivĂ©e des autres Ă©lĂšves, observant Ă©galement ceux qui s'installaient. [ Eh bien voilĂ ! Je vais vous laisser jusqu'au 02/11 dans la soirĂ©e pour arriver, ça devrait coller dans les estimations de tout le monde enfin, de ceux qui en ont donnĂ© une.... A partir de lĂ , vous serez considĂ©rĂ©s comme en retard. Pour ceux qui voudraient papoter entre eux ou avec moi promis je mords pas !, faites vous plaisir, je surveille le sujet, donc je pourrais rĂ©pondre le plus vite possible ! ] Lilith BeeGryffondor Re Cours n°1 Blessures physiquesLilith Bee, le Dim 26 Oct - 1931 Comme si son programme n'Ă©tait pas assez chargĂ©, Lilith s'Ă©tait inscrite Ă un nouveau cours proposĂ© par l'acadĂ©mie de magie de Poudlard MĂ©dicomagie. Bizarre que l'on propose un cours si compliquĂ© Ă des Ă©lĂšves encore novices, mais aprĂšs tout cela changeait des sempiternelles cours de "Potion/histoire/DCFM/enchantements..." . Un peu d'originalitĂ© quoi! C'est donc aprĂšs un repas avalĂ© en vitesse qu'elle se dirigea seule vers la salle anciennement attribuĂ©e au professeur d'histoire de la magie. Une fois sur le pas de la porte, dĂ©jĂ ouverte, elle s'arrĂȘta brusquement, et laissa tomber son sac Ă ses pieds. L'armoire Ă glace qui venait juste d'ouvrir la porte ne semblait pas l'avoir remarquĂ©e. Il attrapa une table, un rictus amusĂ© sur le visage, la dĂ©plaça avec une facilitĂ© dĂ©concertante et s'assit sur une table en croisant les bras. Tiens, bonjour Ă vous, vous n'ĂȘtes pas en retard, au contraire, installez-vous... On va attendre les autres. »Les yeux de la Gryffondor ne l'avaient pas trahie, l'accent Russe qu'elle venait d'entendre confirmait la prĂ©sence de Rurik dans la salle de cours... Lui? Professeur? Alors qu'il arrivait Ă peine Ă supporter la prĂ©sence de Lilith plus d'une heure? Retrouvant ses capacitĂ©s, elle ramassa le sac qui trainait Ă ses pieds et rentra dans la salle, un grand sourire moqueur sur les lĂšvres. Sachant qu'elle Ă©tait la premiĂšre arrivĂ©e, elle se permit une familiaritĂ© avec celui qui l'avait initiĂ© au crime. " Bonjour "Professeur". Elle appuya bien sur l'ironie du dernier mot, adressant un regard entendu au nouvel enseignant. Si je m'attendais Ă te retrouver ici! Je pense que l'on ne risque pas de s'ennuyer pendant cette heure... Mais on t'a prĂ©venu qu'il Ă©tait interdit de frapper les Ă©lĂšves? "Elle se mit Ă rire gentiment, presque prise de pitiĂ© pour lui. Il allait lui falloir beaucoup de self control pour tenir toute une journĂ©e de cours! Lilith jeta un coup d'oeil au tableau MĂ©dicomagieBases sur les blessures physiquesIntĂ©ressant...Sans se dĂ©partir de son air amusĂ©, elle s'installa nonchalamment sur une table proche du bureau, au tout premier rang, et sorti un parchemin et une plume. S'il devait y avoir une partie pratique, elle comptait bien ĂȘtre aux premiĂšres loges! Rurik Ă©tait capable de tout, mĂȘme de se servir d'Ă©lĂšves pour illustrer son cours... InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 2009 Jasmine venait de sortir de la salle commune des aigles. Elle portait un sac en bandouliĂšre, contenant ses plumes et parchemins. N'ayant pas encore eu cours ce matin, elle marchait d'un pas rapide, prenant la direction de la Grande Salle. Son premier cours de la journĂ©e serait un cours de MĂ©dicomagie. La jeune femme ne souhaitait pas vraiment s'orienter dans ce domaine pour son futur Ă©tier, mais, malgrĂ© cela, elle avait particuliĂšrement hĂąte d'assister Ă ce cours. C'Ă©tait le premier de ce genre qui avait lieu Ă Poudlard, et elle comptait bien en profiter pour acquĂ©rir un bon nombre de connaissances Ă ce sujet. C'est donc aprĂšs un rapide repas Ă la table des Serdaigles que la blonde montait les escaliers, jusqu'Ă arriver devant la salle prĂ©vue pour le cours. Elle jeta un coup d'oeil Ă la montre en argent se trouvant Ă son poignet. Hum... Elle avait dix minutes d'avance. Aucun soucis, la porte Ă©tait dĂ©jĂ ouverte de toutes maniĂšres. Elle s'approcha, percevant ainsi quelques paroles. Tiens, bonjour Ă vous, vous n'ĂȘtes pas en retard, au contraire, installez-vous... On va attendre les autres.»C'Ă©tait une voix grave avec un fort accent russe qu'elle venait d'entendre, suivie d'une autre plus aiguĂ« et fĂ©minine. " Bonjour "Professeur". Si je m'attendais Ă te retrouver ici! Je pense que l'on ne risque pas de s'ennuyer pendant cette heure... Mais on t'a prĂ©venu qu'il Ă©tait interdit de frapper les Ă©lĂšves? "Pour ce permettre une telle familiaritĂ© avec l'enseignant, cette jeune femme devait dĂ©jĂ le connaitre. Finalement, Jasmine entra Ă son tour. Assis sur une table, elle put voir un homme Ă la carrure impressionnante. Face Ă lui, installĂ©e Ă une table du premier rang, se trouvait la propriĂ©taire de la voix qu'elle avait entendu, une Gryffondor. La Bleue et Bronze s'avança, adressant un petit sourire Ă l'homme qu'elle prĂ©sumait MĂ©dicomage. "Bonjour Professeur," dit-elle Ă son tour. Puis, elle alla s'installer Ă une table du premier rang, opposĂ©e Ă celle de l'autre Ă©lĂšve. Elle voulait profiter du fait qu'il y avait encore des places libres aux premiers rangs, afin d'ĂȘtre sĂ»re de pouvoir ĂȘtre totalement attentive. Il ne fallait pas qu'elle se laisse distraire par autre chose que le cours. Ses yeux se posĂšrent sur le tableau, et ce qui y Ă©tait sur les blessures physiquesJasmine sortit ensuite un rouleau de parchemin vierge, ainsi que l'une de ses plumes. Ainsi, elle pourrait aisĂ©ment prendre en notes les paroles du professeur, le moment venu. Pour l'instant, elle avait juste Ă attendre l'arrivĂ©e des autres Ă©lĂšves. Hugo MourlevatPoufsouffle Re Cours n°1 Blessures physiquesHugo Mourlevat, le Dim 26 Oct - 2028 Morgan bailla Ă s'en dĂ©crocher la mĂąchoire. Il avait eut un rude et long dĂ©but de semaine. Beaucoup de professeurs avaient dĂ©sirĂ© tester leurs connaissances, et trĂšs souvent Ă l'Ă©crit. Il avait donc du rĂ©viser Ă fond pour ĂȘtre au top La loi de Gamp et ses exceptions pour la mĂ©tamorphose, les CrĂ©atures du Lac Noir pour la DĂ©fense Contre les Forces du Mal, il avait du s'entraĂźner au sortilĂšge d'Attraction -Belle en avait d'ailleurs marre de voleter aprĂšs son miam-hibou qu'elle en a mordu l'index de Morgan, c'est pourquoi il porte un pansement autours-. Il patientait devant la porte du nouveau cours, sans parler Ă personne quand celle-ci s' bonjour Ă vous, vous n'ĂȘtes pas en retard, au contraire, installez-vous... On va attendre les Poufsouffle dĂ©glutit. Il salua timidement et presque inaudiblement son nouveau professeur. Celui-ci l'intimidait beaucoup et cela pouvait se lire sur son visage. Il alla s'installer au deuxiĂšme rang. Il essaya de faire le moins de bruit possible, ne connaissant pas le russe, il ne voulait pas l'Ă©nerver. Il sortit un parchemin neuf et inscrivit le titre ce qui Ă©tait au tableau. Les blessures physiques ? PitiĂ©, qu'il ne nous charcute pas pour qu'on s'entraĂźne sur nous-mĂȘme ! Il dĂ©posa ensuite sa plume et se tint droit comme un i, fixant devant lui. Peut ĂȘtre finirait-il par disparaĂźtre ? InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 2037 Pour une fois je n'Ă©tais pas tirer du sommeil Ă cause d'un oreiller tirer par une blondinette en mode amazone qui avait perdu un de ces prĂ©cieux vĂȘtements et qui Ă©tait persuadĂ©e que c'Ă©tait moi qui les lui avaient empruntĂ©e. Ah un doux rĂ©veil... pour une fois ! J'ai pensĂ© trop vite. Je me lĂšve, m'extirpant avec regret de la chaleur de mon lit. Je me prend le pied dans un manuel scolaire et m'Ă©crase sur le sol. Une de mes camarades de dortoir ricane et agacĂ©e je lui envoie un oreiller en pleine poire. Bam ! On s'habillent tout en se balançant des oreillers a la face. Une bataille de polochon plus tard je me tire enfin du dortoir en gueulant Ă mes camarades que j'avais cours de mĂ©dicomagie. Je ne pris pas de petit dĂ©jeuner de un parce que je n'avais pas faim et de deux parce que devant la derniĂšre expĂ©rience que j'avais eue autant avoir l'estomac vide. Et de trois parce que j'etais un peu en retard. MĂ©dicomagie... C'Ă©tait un nouveau cours pour nous initier a cet art si du sang qui pisse de partout c'est de l'art bien sĂ»r.... Pas que je voulais devenir mĂ©dicomage plus tard, oh ça non en fait, je m'Ă©tais inscrite pour changer d'air. Alors que je progressais dans les couloirs je me rĂ©pĂ©tais inlassablement pourquoi je m'y Ă©tais inscrite. Mais la rĂ©ponse me frappa de plein fouet. Quand on flippe Ă mort lorsqu'on se retrouve dans un hĂŽpital, il fallait tout de mĂȘme connaĂźtre les bases. Je finis par arriver Ă la salle ou se dĂ©roulait le cours. A mon entrĂ© dans la piĂšce je restais un moment Ă©tonnĂ©e comme une idiote les bras ballants. Parce que oui je me rapellais du prof'. TrĂšs bien mĂȘme. Je frissonnais en me rapellant cette nuit la Ă Ste Mangouste. - Bonjour m'sieur. C'est Ă©tonnant de vous voir dans une salle de classe. En fait vous ne ressemblez ni a un medicomage ni a un professeur. AprĂšs je dis ça je dis rien...Je m'assis a cĂŽtĂ© d'une Serdaigle au premier rang aprĂšs avoir jetĂ© mon sac sur ma table. Je lui adressais un petit sourire avant de sortir parchemins et Salut. Moi c'est Astrid et toi ?Je fixe un moment notre nouveau professeur, une vĂ©ritable armure Ă glace. DĂ©cidement le surnom de grosse brute, que je lui avais donne cette nuit-la, lui allait a la perfection. Etrangement j'avais hĂąte que le cours commence ça promettait d'ĂȘtre super-intĂ©ressant. Et avec un peu de chance je ne degobillerais pas...Tout en attendant sa rĂ©ponse j'enfouis ma tĂȘte entre mes bras. J'aperçu soudain Morgan et me redressais donc. Je dĂ©chirais un bout de parchemin ou j'Ă©crivis un ''bouh'' maladroitement. Apres avoir fouillais dans mon sac je sortis la photo d'un Morgan au top de sa forme couvert de crĂšme ainsi qu'une grimace crĂ©tine sur la face. Je souris moqueusement. Ah cette photo me fera longtemps marrait... J'en avais mĂȘme un autre exemplaire au dortoir... Je roulais en boule les deux papiers et a l'aide d'un sortilĂšge, ils atterirent sur la table de mon ami d'enfance. Niark. Eileen I. HilswoodMDJ-G en formationHarryPotter2005 Re Cours n°1 Blessures physiquesEileen I. Hilswood, le Dim 26 Oct - 2051 Izsa Ă©tait trĂšs curieuse de voir comment se dĂ©rouleraient ces nouveaux cours. MĂ©dicomagie. Il n'y en avait encore jamais eu, Ă ce qu'elle sache, et c'Ă©tait une grande innovation pour Poudlard. Elle Ă©tait vraiment contente de ce nouveau sujet, grĂące Ă cela elle aurait moyen de se renseigner un peu plus sur la voie de MĂ©dicomage, mĂ©tier qu'elle envisageait parmi tant d'autre. Ce cours lui permettrait donc d'avoir un aperçu, et si ça ne lui plaisait pas, au moins elle s'en rendrait compte assez fut la cinquiĂšme a rentrer dans la piĂšce. Et, mis Ă part Lilith, les gens dans la piĂšce ne lui inspirait guĂšre de sympathie. Il y avait une Gryffondor inconnue, une Serdaigle avec qui elle avait eu une altercation chez Guipure elle la reconnu Ă ses cheveux trĂšs blonds, ainsi que Mini-Poufffy, un gamin qui s'Ă©tait cru intelligent en lui balançant un Immobilus. Autrement dit, que du beau monde. Et en plus, le prof ne correspondait pas du tout, mais alors pas du tout, Ă l'idĂ©e qu'elle se faisait d'un MĂ©dicomage. C'Ă©tait une armoire Ă glace au visage antipathique. Le genre de personne qu'on imaginait plus dans un ruelle sombre de l'AllĂ©e des Embrumes plutĂŽt que derriĂšre le bureau d'un professeur, ou dans un le salua d'un vague "Bonjour Monsieur" et s'assit auprĂšs de Lilith. Ce qui Ă©tait Ă©trange, c'Ă©tait que son amie semblait connaĂźtre Professeur Armoire Ă Glace, et elle se demandait bien d'oĂč ces deux lĂ aurait bien pu se connaĂźtre. Elle resta attentive, cherchant Ă glaner le plus d'informations possibles. InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 2152 La dĂ©ferlante de charmantes petites tĂȘtes blondes se rĂ©pandit dans la classe comme un herpĂšs dans un club d'Ă©changistes. Sur cette image trĂšs motivante, Rurik eut donc la "joie" de reconnaĂźtre Lilith... Sa chĂšre et tendre "apprentie"... ou victime ? Peu importait, elle avait intĂ©rĂȘt Ă se faire discrĂšte...- Bonjour "Professeur". Si je m'attendais Ă te retrouver ici ! Je pense que l'on ne risque pas de s'ennuyer pendant cette heure... Mais on t'a prĂ©venu qu'il Ă©tait interdit de frapper les Ă©lĂšves ?Bon, au vu des autres Ă©lĂšves prĂ©sents, l'on ne pouvait pas dire que le fait qu'ils se connaissaient dĂ©jĂ soit passĂ© "discrĂštement". Il fallait une approche un peu plus... autoritaire ? Son poing dans sa figure ? NON ! Ne pas penser Ă des trucs agrĂ©ables ! Pas maintenant !D'autres petites tĂȘtes s'installĂšrent en silence, comme manipulĂ©s par une force invisible, les habitudes transformaient les gens en moutons pathĂ©tiques... Une autre Ă©lĂšve lui fit se rappeler un soir particuliĂšrement animĂ© Ă Sainte-Mangouste Astrid... DĂ©cidĂ©ment, il Ă©tait content de ne pas connaĂźtre plus d'Ă©lĂšves de Poudlard, car sinon il aurait trĂšs bien pu les voir dĂ©filer. L'ex-blessĂ©e s'autorisa Ă©galement une familiaritĂ© - Bonjour m'sieur. C'est Ă©tonnant de vous voir dans une salle de classe. En fait vous ne ressemblez ni a un medicomage ni a un professeur. AprĂšs je dis ça je dis rien...D'accord... L'idĂ©e d'un bon crochet du droit vint le titiller avec acharnement... Non Rurik, rester calme, professionnel. Ătirant un sourire froid, qui n'aidait en rien Ă le rendre moins menaçant bien au contraire, il s'approcha de Lilith. Peut-ĂȘtre que la directrice a omis de me le prĂ©ciser... Mais est-ce que toi on t'as prĂ©venu qu'il ne fallait pas manquer de respect Ă son professeur ? Ăa fera cinq points en moins Ă Gryffondor... »Il tourna son regard vers Astrid. ...pour chacune. Et la prochaine fois que vous vous faites charcuter la jambe et que vous ĂȘtes sur le point de mourir par empoisonnement, nous pourrons discuter longuement de mes qualifications, Miss Reckless. »En passant Ă cĂŽtĂ© de Lilith, il lui tapota le crĂąne d'une de ses grosses paluches. En fin de compte, il savait s'y prendre sans effusions de sang... il se surprenait tout seul. Trop sĂ©vĂšre ? Naaan... Elles l'avaient cherchĂ© ! S'Ă©tant rapprochĂ© du jeune Poufsouffle timide et silencieux, il intercepta le projectile envoyĂ© par Astrid. Quand le cours aura commencĂ©, j'attends tout de mĂȘme un peu plus de discrĂ©tion que ça... »Curieux, bien Ă©videmment, il dĂ©roula la boule composĂ©e de deux papiers un morceau de parchemin et une photographie. Sur le papier une boutade d'adolescent manquant horriblement d'originalitĂ©. La photographie mettait en scĂšne le jeune garçon aprĂšs s'ĂȘtre sans doute fait recouvert d'une... Ă©trange substance... Le grand sourire qu'il abordait ajoutait beaucoup au comique de la Ă©chapper un bref grognement, amusĂ©, il commenta Je vois qu'on s'amuse bien en dehors des cours... Par contre, je me passerais bien des dĂ©tails. »Posant le tout sur la table pour laisser dĂ©couvrir Ă ce jeune homme ce que son professeur venait de voir, il retourna s'installer sur la table qu'il avait dĂ©placĂ©, comme s'il s'agissait de sa place de prĂ©dilection, afin de bien avoir tout le monde en vue... Et de donner l'impression d'ĂȘtre une grosse brute attendant sagement qu'on lui apporte ses victimes... mais ça, il ne s'en rendait pas cours promettait d'ĂȘtre intĂ©ressant, en fin de compte. InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 2159 Logan s'Ă©tait levĂ© plus tĂŽt en cette matinĂ©e pour aller courir un peu avant d'aller rejoindre son cours de MĂ©dicomagie. La mĂ©dicomagie, cela intĂ©ressait grandement le rouge et or. Bon, pas autant que la DĂ©fenses Contre les Forces du Mal ou le Quidditch mais, intĂ©ressant tout de mĂȘme. Et puis cela changerait de sa routine habituelle. Un peu de nouveautĂ©, cela ne ferait de mal Ă personne. Une fois son jogging terminĂ©, Logan fila vers la grande salle et mangea Ă grande vitesse. Son encas terminĂ©, il se dirigea en courant Ă la vitesse de l'Ă©clair en direction de son dortoir pour rĂ©cupĂ©rer ses affaires. Une fois son sac et sa baguette prise, il se dirigea vers la salle dĂ©diĂ© au cours de le jeune homme arriva dans la salle, il remarqua qu'il y avait dĂ©jĂ plusieurs Ă©lĂšves prĂ©sent dont Astrid Reckless, sa meilleure amie et Lilith Bee, une autre Gryffondor que le beau brun avait dĂ©jĂ croisĂ© plusieurs fois dans la salle commune et Ă certains cours de DCFM. Logan partit saluer le professeur avant de saluer Astrid."Bonjour m'sieur Mkrovsk, hĂąte que votre cours commence. Votre cours va changer notre routine habituelle. Et bonne chance pour nous gĂ©rer"Une fois son professeur saluĂ©, Logan se dirigea vers Astrid et lui Ă©bouriffa les cheveux en signe de Bonjour, puis s'assit Ă la table situĂ©e juste derriĂšre cette derniĂšre. Logan lut alors le tableau MĂ©dicomagieBases sur les blessures physiquesLogan pensa que c'Ă©tait un bon dĂ©but pour commencer. Il sourit donc amusĂ© et attendit tranquillement que le cours commence. Ebenezer LestrangeSerdaigle Re Cours n°1 Blessures physiquesEbenezer Lestrange, le Dim 26 Oct - 2219 MĂ©dicomagie... Ăa commençait comme mĂ©tamorphose sauf que c'Ă©tait mille fois plus intĂ©ressant et beaucoup plus facile. En plus, Ebenezer voulait devenir mĂ©dicomage parce que un, c'Ă©tait un mĂ©tier suffisamment respectable pour que son pĂšre ne lui traĂźne pas la tĂȘte, deux ça l'aiderait Ă mieux connaĂźtre l'anatomie humaine ce qui serait trĂšs utile pour ses expĂ©riences Ă venir et trois, en cas de bagarre, personne ne serait au courant qu'il s'Ă©tait fait pĂ©tĂ© le nez ou qu'il avait pĂ©tĂ© le nez de quelqu'un, sa sĆur par exemple, pour cause de coup de pied non-contrĂŽlĂ©. En fait, il maĂźtrisait plutĂŽt bien les Episkey maintenant, il ne laissait presque plus de cicatrice. Les sorts plus complexes, par contre, il ne les connaissait pas. Tant mieux, il avait cours de arriva dans la salle cinq minutes avant l'heure et le moins qu'on puisse dire, c'Ă©tait que le nouveau prof Ă©tait imposant. TrĂšs imposant mĂȘme, une vĂ©ritable armoire Ă glace, le genre de type avec qui il valait mieux ĂȘtre poli. Il l'aurait croisĂ© dans la rue, il aurait changĂ© de trottoir direct et ne se serait jamais doutĂ© qu'il Ă©tait mĂ©dicomage. Pas mal d'Ă©lĂšves Ă©taient arrivĂ©s. Au premier rang, Vagneur semblait dĂ©jĂ prĂȘte Ă noter la moindre parole, mais surtout Lilith et Izsa s'y Ă©taient installĂ©es. C'Ă©tait quoi cette arnaque? Depuis quand on se mettait tout devant? Surtout qu'il restait plein de place au fond. Avant de partir s'asseoir, il salua le professeur qui trĂŽnait sur une table d'un "Bonjour Monsieur" poli, fit un signe de tĂȘte en direction de Jasmine et posa son sac sur la table Ă cotĂ© de celle d' Depuis quand on s'assoit au premier rang? chuchota-t-il, un brin se tourna ensuite vers le tableau, "Bases sur les blessures physiques" et vu l'allure du professeur, Ebenezer n'Ă©tait pas trĂšs rassurĂ© pour la pratique. Il voyait dĂ©jĂ le type tabasser un de ses Ă©lĂšves contre une table avant de dĂ©clarer un truc dans le genre "VoilĂ votre cobaye, dĂ©brouillez-vous"... InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 2229 Face avait passĂ© une nuit complĂšte de repos. Une vraie nuit pour une fois. Le sommeil se faisait rare et donc son humeur en Ă©tait souvent mauvaise. Quoi de plus pratique lorsque l'on devait affronter une journĂ©e entiĂšre de cours ennuyeux Ă mourir. Mais aujourd'hui ce n'Ă©tait pas le cas. Son planning Ă©tait lĂ©ger et une matiĂšre inĂ©dite Ă©tait prĂ©vue. La curiositĂ© l'avait rattrapĂ©e et la jeune fille ne cessait d'y songer. La mĂ©dicomagie ! Un sujet vaste et intĂ©ressant qui ne manquerait pas de la surprendre. D'autant plus qu'elle peut s'avĂ©rer pratique et donc d'un pas enthousiaste que la Poufsouffle se rendit dans la salle de cours de Un Ă©trange professeur selon les rumeurs. Mais ne portons pas de jugement avant de s'en ĂȘtre fait sa propre opinion. Elle passa le seuil de la porte et fut accueillie par un bonjour et une invitation Ă rejoindre les tables de la classe. - Bonjour professeur, rĂ©pondit-elle. Ravie de pouvoir assister Ă votre premier cours jeune brune s'avança alors et prit place Ă cĂŽtĂ© d'un garçon de sa maison. Elle le salua d'un signe de tĂȘte et d'un sourire confiant. Tout Ă©tait Ă©trangement parfait, et Face n'en pouvait ĂȘtre que plus heureuse. Elle contempla alors le sujet du jour Bases sur les blessures physiques. GĂ©nial, j'espĂšre qu'on va pas finir en petits lĂ©gumes !» pensa-t-elle. Sa joie baissa petit Ă petit. Quand la pratique arrivera, quels genres d'expĂ©riences devront-ils donc faire ? La jaune et noire Ă©mit une grimace Ă la seule pensĂ©e des possibles douleurs qu'ils allaient devoir endurer. InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 2233 Quelques minutes aprĂšs que Jasmine se fut installĂ©e, une autre jeune femme entra dans la salle. Ătrangement, elle se permit Ă©galement de saluer familiĂšrement le professeur. - Bonjour m'sieur. C'est Ă©tonnant de vous voir dans une salle de classe. En fait vous ne ressemblez ni a un medicomage ni a un professeur. AprĂšs je dis ça je dis rien...Au moins, elle, elle l'avait vouvoyĂ©, comparĂ© Ă cette autre Gryffondor. Puis, la nouvelle arrivante s'installa Ă ses cĂŽtĂ©s, ne tardant pas Ă se Salut. Moi c'est Astrid et toi ?Elle avait dĂ©jĂ dĂ» la croiser, quelques fois, dans les couloirs. Elle devait ĂȘtre Ă Gryffondor, si ses souvenirs Ă©taient bons. Alors, elle prit la parole Ă son tour, lui offrant un sourire amical. "Salut, je suis Jasmine. EnchantĂ©e."Puis, les paroles de lâenseignant l'interpelĂšrent, et elle porta son attention sur la dĂ©nommĂ©e Lilith. Du moins, elle pensait qu'elle s'appelait ainsi. "Peut-ĂȘtre que la directrice a omis de me le prĂ©ciser... Mais est-ce que toi on t'as prĂ©venu qu'il ne fallait pas manquer de respect Ă son professeur ? Ăa fera cinq points en moins Ă Gryffondor..." Il se tourna ensuite vers Astrid. "...pour chacune. Et la prochaine fois que vous vous faites charcuter la jambe et que vous ĂȘtes sur le point de mourir par empoisonnement, nous pourrons discuter longuement de mes qualifications, Miss Reckless."Jasmine dĂ©glutit. On pouvait dire que cet homme n'hĂ©siterait pas Ă user de son rang Ă Poudlard si elle osait faire le moindre faux pas. Chose qu'elle comptait bien Ă©viter. Pas question qu'elle fasse perdre des points Ă sa maison. S'ensuivit ensuite un petit contretemps concernant l'envoi qu'Astrid venait de faire Ă Morgan. Mais, la Bleue et Bronze n'y porta que peu d'attention. Une Serpentard avec qui elle avait eu une bref dispute venait d'arriver. Bien Ă©videmment, elle l'avait reconnue. Elle se reconcentra sur son parchemin, qui semblait soudain avoir prit de l'importance Ă ses yeux. Il ne fallait surtout pas qu'elle attire l'attention sur elle. Puis, l'arrivĂ©e d'une personne qu'elle connaissait la fit lever la tĂȘte. Il s'agissait d'Ebenezer, le prĂ©fet des aigles. Il lui adressa un signe de tĂȘte, et elle fit de mĂȘme, avant qu'il n'aille s'assoir. Agonius PrinceSerpentard Re Cours n°1 Blessures physiquesAgonius Prince, le Dim 26 Oct - 2253 Agonius avait toujours aimĂ© les cours et la mĂ©dicomagie lui avait semblĂ© ĂȘtre un bon choix. AprĂšs tout , c'Ă©tait bien beau d'apprendre Ă infliger des dizaines de blessures toutes les plus horribles les unes des autres si il Ă©tait incapable de soigner une coupure superficielle. *Et surtout, me soigner moi-mĂȘme m'Ă©pargnera les questions gĂȘnantes de l'infirmiĂšre* pensa-t-il. Mais lorsqu'il franchit le seuil de la classe , il crut s'ĂȘtre trompĂ© le professeur ressemblait Ă une sorte de vigile psychopathe , plus du genre Ă causer des blessures qu'Ă les soigner. Mais, il ne faut pas se fier aux apparences, hein ? Agonius salua donc rapidement le professeur "Bonjour Monsieur" avant de se tourner vers le reste des Ă©lĂ©ves. *Que des inconnus* soupira-t-il mentalement. Bien dĂ©cidĂ© Ă ce que les inconnus restent des inconnus , Agonius prit une chaise au fond Ă droite de la salle. Autour de lui , il n'y avait que des pupitres vides. *Et qui j'espĂšre , le resteront* Ă©dition par Agonius Prince le Dim 26 Oct - 2254, Ă©ditĂ© 2 fois Raison problĂšme de style Lilith BeeGryffondor Re Cours n°1 Blessures physiquesLilith Bee, le Lun 27 Oct - 115 HRP - J'ai testĂ© un nouveau code couleur pour les noms et les dialogues... ça pique un peu les yeux, je m'en excuse, mais j'ai la flemme de tout bien reprendre en fait. Migraineux s' autre Ă©lĂšve de sa maison entra dans la salle, Lilith remarqua le regard appuyĂ© de Rurik et la rĂ©action de surprise de la jeune fille. Tiens, le mafieux Russe avait peut-ĂȘtre plus de connaissances au chĂąteau qu'il ne voulait bien l'avouer... Bien qu'amusĂ©e par l'expression Ă©tonnĂ©e de la nouvelle arrivante, Lilith ne put retenir une pointe de jalousie. *Si Rurik doit martyriser quelqu'un, c'est moi!*Avant d'aller s'assoir et d'entamer une conversation avec sa voisine, Astrid salua donc le professeur en des termes plutĂŽt familiers- Bonjour m'sieur. C'est Ă©tonnant de vous voir dans une salle de classe. En fait vous ne ressemblez ni a un medicomage ni a un professeur. AprĂšs je dis ça je dis rien...Quel culot! Enfin, pour ĂȘtre honnĂȘte, elle en avait moins eu que Lilith. Mais cette derniĂšre avait dĂ©jĂ goutĂ© Ă la colĂšre froide du grand Russe, qui ne l'effrayait plus. Et elle avait surement tord. Et puis, la salle Ă©tait vide quand elle lui avait adressĂ© la parole! Ce qui n'Ă©tait clairement plus le cas. Izsa arriva quelques temps aprĂšs, mais avant la cohue. Elle salua rapidement le professeur, puis s'assit Ă cotĂ© de la Gryffondor. Elle lui adressa un sourire, mais Izsa prit l'air suspicieux que la rouge et or lui connaissait bien... Cette Serpy avait l'oeil dĂ©cidĂ©ment! La connaissant, Lilith savait qu'elle ne la lĂącherait pas sans avoir eu de plus amples informations sur la nature des relations entre elle et le professeur. La rouge et or s'apprĂȘtait Ă adresser une phrase bien sentie Ă sa voisine quand Rurik s'approcha d'elle avec le sourire malsain qu'il arborait avant de frapper... Elle soutint son regard froid et le regarda venir vers elle. Allait-il la frapper, ici, devant tous ces tĂ©moins? Mise Ă part le fait qu'elle aurait bien aimĂ©e Ă©viter de servir de cobaye au cours, elle Ă©tait assez impatiente de voir sa rĂ©action. - Peut-ĂȘtre que la directrice a omis de me le prĂ©ciser... Mais est-ce que toi on t'as prĂ©venu qu'il ne fallait pas manquer de respect Ă son professeur ? Ăa fera cinq points en moins Ă Gryffondor... *Tiens, la grosse brute commencerait-elle Ă passer aux sanctions plus "acadĂ©miques"?*Elle garda cette rĂ©flexion au fond de sa tĂȘte, mais se promit de lui ressortir un jour. Ou plutĂŽt un soir, Ă un moment oĂč il ne pourrai pas la sanctionner pour insolence! Malheureusement, Gryffondor n'avait pas finit de perdre des points... ...pour - Et la prochaine fois que vous vous faites charcuter la jambe et que vous ĂȘtes sur le point de mourir par empoisonnement, nous pourrons discuter longuement de mes qualifications, Miss Reckless. Donc, elle avait du le croiser suite Ă une blessure. Pile dans le thĂšme du cours! Mais avant qu'elle ait le temps d'y penser, elle sentit une mains s'appuyer sur le haut de son crĂąne avec une force phĂ©nomĂ©nale. Elle leva les yeux et aperçu le torse massive de Rurik qui Ă©tait en train de lui tapoter le crĂąne, comme on le ferait Ă un chien. Cette fois, elle ravala son venin pour Ă©viter de faire de nouveau perdre des points Ă sa maison, mais ne pu se retenir de jurer entre ses dents, assez bas pour qu'il ne puisse pas l'entendre. - M***de, Je ne suis pas ton joujou Rurik...Izsa quant Ă elle Ă©tait assez proche pour entendre le juron de Lilith, et la sorciĂšre se doutait bien que son air inquisiteur n'en serait que plus aiguisĂ©. CachĂ©e derriĂšre une moue boudeuse, Lilith remarqua a peine la suite des pĂ©ripĂ©ties du prof novice avec un projectile, mais leva la tĂȘte quand Eb' vint s'assoir non loin de ses deux amies. - Depuis quand on s'assoit au premier rang?La remarque innocente du Serdaigle eut l'effet de faire sortir Lilith de ses gonds, et elle lui rĂ©pondit d'un ton plus dĂ©sagrĂ©able qu'elle ne l'aurait voulu. - Depuis que je l'ai dĂ©cidĂ©. Et si tu n'es pas content Eb', tu peux toujours aller derriĂšre hein! Puis elle regarda Izsa en haussant les Ă©paules - Bah quoi? Elle se doutait bien que son comportement attiserai la curiositĂ© de ses camarades, mais ils Ă©taient habituĂ©s Ă ses coups de sangs impromptus, alors peut-ĂȘtre ne s'en formaliseraient-ils pas trop? Elle se contenta donc de fixer de nouveau le "mĂ©dicomage" avec un regard qui se voulait noir, mais qui Ă©tait en rĂ©alitĂ© un regard de dĂ©fi. Il voulait la ridiculiser? Et bien, elle serait irrĂ©prochable, aux yeux des spectateurs innocents qu'Ă©taient les Ă©lĂšves. Mais un cours comme celui-ci serait surement propice Ă des allusions pour le moins... personnelles et... sanguinaires. InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Lun 27 Oct - 148 La mĂ©dicomagie... Levine n'avait pas du tout pour but de continuer dans cette voie aprĂšs ses ASPICs, mais il avait Ă©tĂ© curieux en apprenant que c'Ă©tait la premiĂšre fois que Poudlard proposait cette matiĂšre. Et puis, le Serpentard devait bien s'avouer qu'apprendre quelques sortilĂšges pour se soigner ne pouvait ĂȘtre qu'ĂȘtre avoir mangĂ©, le Serpentard, une pomme Ă la main, se dirigea donc vers sa destination. Bien Ă©videmment, pour ne voulant pas paraĂźtre rĂ©ellement intĂ©ressĂ© par ce genre de magie, il ne se pressa pas vraiment. En rĂ©alitĂ©, il craignait surtout la rĂ©action de son pĂšre quand il apprendrait qu'il avait pris cette option, et surtout, sa rĂ©action s'il osait montrer un quelconque intĂ©rĂȘt Ă cette arrivant dans la classe, il eut un temps d'arrĂȘt, contemplant le tas de muscle qui se trouvait dans la salle, et qui devait ĂȘtre son professeur. Il avait dĂ©jĂ entendu le nom du personnage et en avait dĂ©duis qu'il Ă©tait lui aussi un Russe... Il espĂ©rait d'ailleurs qu'il ne connaissait pas son pĂšre, sinon il serait bon pour surveiller ses arriĂšres toute l'annĂ©e scolaire. Enfin, sortant de sa rĂȘverie, qui ne prit qu'une demi-seconde en rĂ©alitĂ©, il entra dans la Bonjour Professeur Mkrovsk, dit-il alors, sans le moindre accrochage sur le jeune homme balaya finalement la piĂšce du regard, il n'y avait pas grand monde qu'il connaissait. Finalement, continuant de manger sa pomme, il partit s'asseoir Ă la table derriĂšre celle d'Izsa, qu'il avait dĂ©jĂ rencontrĂ©, et d'une Gryffondor Lilith qu'il ne connaissait pas. Il les salua d'une voix qu'il voulait totalement dĂ©tachĂ© de la rĂ©alitĂ©. Il sortit alors une plume, de l'encre et plusieurs il fut enfin prĂȘt, il observa le mĂ©dicomage. C'Ă©tait un homme qui avait l'apparence d'une brute. Bien qu'il ne le montre pas une seule fois, gardant une attitude dĂ©tachĂ©e, il se demanda si cet homme n'allait pas les torturer... il n'y tenait pas vraiment, ayant dĂ©jĂ son paternel pour lui faire subir ce genre de choses... Enfin, il ne tenait pas Ă ce que son professeur le torture lui. Il dĂ©tourna finalement les yeux de l'autre russe et son regard se posa sur le Bases sur les blessures de Sang-Pur eut un sourire en coin, purement et simplement contrĂŽlĂ©. Il avait le rĂŽle du rejeton Koenig Ă jouer en public, hautain, dĂ©tachĂ©, qui aime le sang... Bref. Tout ça pour que son pĂšre ne le corrige pas. Son sourire pouvait ĂȘtre traduit par une chose "il va sĂ»rement y avoir pas mal de sang et des tortures au vu de la tronche de lâarmoire Ă glace, c'est cool". Bien, qu'en rĂ©alitĂ©, il ne le pensait pas du tout. Il reporta finalement son attention sur sa pomme dĂ©laissĂ©, et dĂ©cida de la manger avant que le cour ne Ă©dition par Levine Koenig le Lun 27 Oct - 1650, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Lun 27 Oct - 1007 âJeune homme Ă la peau blanche maculĂ©e de tĂąches rouges, je ne veux en aucun cas te tuer. Je veux juste voir la rĂ©sistance de ton corps.âLa lame entaille dĂ©sormais ton bras. Quelle taille de coupure prĂ©fĂšres-tu ? Doit-elle ĂȘtre grande, ou profonde ? As-tu mal ? Il est amusant de voir ces larmes coulaient le long de ton visage, serait-ce donc lĂ ta rĂ©action face Ă la douleur ? Je continue donc, en passant par ton dĂ©licieux ventre. Une peau d'une telle blancheur, les entailles ne la rendront que plus belles. Laisse-toi faire petit cobaye. Ne trouves-tu pas le rouge magnifique ? Une couleur si vive, je frĂ©mis face Ă cette vue. Ne crie pas, ne hurle pas, tu n'es pas encore proche de la mort. J'aurai tellement voulu que tu me contes ta rencontre avec cette derniĂšre, mais il faut croire que cela restera un secret Ă jamais. Essayons quelques Ă©chantillons prĂ©parĂ©s. Je ne sais leurs effets, sois un bon pantin et raconte-moi ce que tu ressens, d'accord ? Ta voix n'est que murmure, mais je t'entends, alors parle ! Froid ? Je crois avoir compris en regardant ton corps trembler. Tiens, tu sembles rejeter une quantitĂ© importante de sang. Mon cher cobaye, tu as la chance de frĂŽler la Mort, souris ! Quoiqu'il en soit, il me faut te soigner. âJ'avais oubliĂ©, je n'ai pas les capacitĂ© de te soigner. Quel dommage n'est-ce pas ? Bon voyage.âAprĂšs une promenade pour le moins plaisante Ă l'extĂ©rieur du chĂąteau, je marche calmement vers la salle de cours. La MĂ©dicomagie, nouvelle matiĂšre en cette annĂ©e, Ă©tait attendue avec impatience. Elle pouvait ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme solution Ă divers problĂšmes. PrĂ©sente sur le pas de la porte, j'entre sans mĂȘme porter un quelconque intĂ©rĂȘt aux Ă©lĂšves prĂ©sents. Mon regard dĂ©rive directement vers notre soi-disant professeur. Outre sa masse corporelle qui fait penser Ă une grosse brute, son physique faisait penser Ă quelqu'un qui faisait son travail plus au moins correctement. Son prestance, par contre, restait imposante. Un signe de la tĂȘte en signe de salut envers cet homme et j'allai m'asseoir au fond de la salle, attendant le dĂ©but du cours. J'observai quelques secondes le tableau pour voir le contenu de cette heure et Ă©mit un soupir satisfait. C'Ă©tait parfaitement ce qu'il me Ă©dition par Linaewen Dementia le Mer 29 Oct - 007, Ă©ditĂ© 1 fois Re Cours n°1 Blessures physiquesContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Dans le Nouveau Testament, JĂ©sus a dit En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les Ćuvres que je fais et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au PĂšre » Jean 1412 [1] . Comment cultivez-vous votre foi pour renforcer votre croyance en l'Esprit du Christ ? Car il y a un seul Dieu et aussi un seul mĂ©diateur entre Dieu et les hommes, JĂ©sus-Christ homme [2] », il intervient en votre faveur. Alors, comment pouvez-vous renforcer votre foi ? Ătapes 1 Nourrissez votre foi. Recevez une mesure de foi de Dieu, en vous imprĂ©gnant des Saintes Ăcritures et en Ă©tudiant la Bible. Dans Romains 1017, il est dit Ainsi la foi vient de ce qu'on entend et ce qu'on entend vient de la parole du Christ. » La foi ne vient pas essentiellement par la priĂšre, la mendicitĂ© ou le jeĂ»ne et les versets prĂ©cĂ©dents ne sont que des exemples Ă mĂ©diter. La Bible recommande bien de prier toujours. Ainsi, la priĂšre est fondamentale, mais la foi vient par l'Ă©coute et la pratique de la parole divine. Vous devez lire et Ă©tudier la Bible, afin de renforcer votre foi. Dans 2 Thessaloniciens 13, il est dit que votre foi fait de grands progrĂšs » lorsque vous vivez dans les promesses que Dieu nous a faites dans la Bible. 2 Relisez la Bible oĂč il est dit que JĂ©sus-Christ croyait pleinement en Dieu sans mesure. La Bible est la Parole vivante de Dieu [3] . La foi est un fruit du Saint-Esprit que JĂ©sus a promis d'envoyer aprĂšs avoir Ă©tĂ© vers le PĂšre. Cela peut ĂȘtre remarquĂ© dans la renaissance de l'esprit d'une personne mĂȘme pendant des moments difficiles et pas seulement au cours des meilleurs jours ~ ...mais le fruit du Saint-Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bontĂ©, la bienveillance, la fidĂ©litĂ© » [4] . 3 Renaissez Ă nouveau. GrĂące Ă la force de votre repentir, vous pouvez croire et poursuivre votre chemin dans le Christ, afin de recevoir en vous une mesure de foi et l'Esprit de Dieu. Cela signifie que si vous renaissez, vous aurez en vous une partie de la nature de Dieu comme il est dit dans les Saintes Ăcritures. Donc, personne n'est excusĂ©. Par la grĂące qui m'a Ă©tĂ© donnĂ©e, je dis Ă chacun de vous de n'avoir pas de lui-mĂȘme une trop haute opinion, mais de revĂȘtir des sentiments modestes, selon la mesure de foi que Dieu a dĂ©partie Ă chacun » Romains 123 [5] . Laissez la foi vous envahir et il se peut que dans le monde des choses invisibles, vous croyiez en la volontĂ© de Dieu, qui s'impose Ă vous et que vous pouvez matĂ©rialiser. Vous verrez les rĂ©sultats par la foi. Il ne s'agit pas seulement d'une espĂ©rance. C'est la voie de Dieu pour accĂ©der aux choses de Dieu. 4 Aimez votre prochain. Comment pouvez-vous croire en Dieu que vous n'avez pas vu, si vous ne pouvez pas aimer votre prochain que vous avez vu ? Dieu se rĂ©vĂšlera Ă vous spontanĂ©ment grĂące Ă son peuple, son amour, Ă travers son Fils, sa Parole et par le Saint-Esprit, l'Esprit du Christ. Selon Galates 56, la foi est agissante par la charitĂ© ». 5 Ayez la foi. Elle vous aidera Ă vaincre des problĂšmes comme des montagnes. Il s'agit tout simplement de croire que Dieu tiendra sa parole. Il faut croire que Dieu ne peut pas mentir. Vous ne pouvez pas faire confiance Ă Dieu sans le connaitre Ă travers la fraternitĂ© qui rĂ©sulte de sa prĂ©sence. Cette fraternitĂ© apparait lorsque vous consacrez du temps Ă Ă©tudier les Saintes Ăcritures, louer et prier Dieu. La prĂ©sence de Dieu dans la communautĂ© apparait aussi quand vous apprenez Ă connaitre Dieu, sa vie, sa voie et sa vĂ©ritĂ©, comme il est dit dans la Bible. Selon Romains versets 419 Ă 21, la foi d'Abraham Ă©tait trĂšs forte pour trois raisons. D'abord, il n'Ă©tait pas prĂ©occupĂ© par sa situation matĂ©rielle, ensuite il croyait fermement que Dieu tient toujours ses promesses et enfin parce qu'il priait Dieu. 6 Communiez avec Dieu. Vous arriverez progressivement Ă ĂȘtre d'accord avec ceux qui ont confiance en Dieu.~ Je vous dis aussi, que si deux d'entre vous s'accordent sur la terre, tout ce qu'ils demanderont leur sera donnĂ© par mon PĂšre qui est aux cieux. Car, lĂ oĂč il y en a deux ou trois assemblĂ©s en mon Nom, je suis lĂ au milieu d'eux » Matthieu 1820 [6] . 7Cultivez votre foi en espĂ©rant que Dieu se rĂ©vĂšlera Ă vous. Vous le connaitrez, car il est dĂ©jĂ prĂ©sent dans votre vie. La communion avec Dieu crĂ©e dans votre esprit une mesure de foi qui peut modifier votre rĂ©alitĂ© visible et physique. 8 Pratiquez votre foi. La foi ne s'exprime pas uniquement par des pensĂ©es et des mots. Vous devez aussi croire, agir et rechercher des rĂ©sultats concrets en fonction des attentes que vous espĂ©rez de la faveur de Dieu. Dieu a dit Ă JosuĂ© que nous devons ĂȘtre fidĂšles aux Saintes Ăcritures ~ Que ce livre de la loi ne s'Ă©loigne point de ta bouche, mĂ©dite-le jour et nuit, pour agir fidĂšlement selon tout ce qui y est c'est alors que tu auras du succĂšs dans tes entreprises, c'est alors que tu rĂ©ussiras » JosuĂ© 18 [7] . Remarquez que dans Marc 923, JĂ©sus a dit que si tu peux croire, toutes choses sont possibles au croyant. » Croire est un verbe d'action. Si aucune mesure n'Ă©tait nĂ©cessaire, JĂ©sus aurait dit que toutes les choses sont possibles Ă celui qui possĂšde la foi. Le mot foi est un nom et elle est un don que Dieu nous accorde. 9MĂ©ditez sur la Parole de Dieu. Ainsi, vous saurez comment agir pour en tenir compte. Votre confession, le tĂ©moignage de la parole et des manifestations divines font partie de la priĂšre et de la mĂ©ditation. Lorsque vous lisez, vous assimilez et vous dites les mots Ă vous-mĂȘme. Vous mĂ©ditez sur la Parole de Dieu. 10 Construisez votre foi en respectant votre parole et en agissant honnĂȘtement et non en simulant. La Parole de Dieu est dĂ©jĂ en nous, mais elle ne vous concerne pas, sauf si vous croyez vraiment. Ce que vous mĂ©ditez forme et constitue vos croyances. Faites attention Ă ce que vous pensez. Vos pensĂ©es dĂ©terminent vos actions. Soyez attentif Ă ce que vous faites pendant les occasions qui se prĂ©sentent Ă vous. Vos actions dĂ©terminent votre foi, votre identitĂ© et votre personnalitĂ©. Faites attention aux aspects de votre personnalitĂ©, car ils dĂ©terminent ce qui habite votre Ăąme. Et votre Ăąme dĂ©termine qui vous ĂȘtes. Par consĂ©quent, nos pensĂ©es dĂ©terminent notre devenir. » Paroles tirĂ©es d'un dicton. 11Appuyez-vous sur votre trĂšs Sainte-Foy et priez par le Saint-Esprit Jude 20. Selon le Nouveau Testament, la priĂšre dans d'autres langues est un exercice spirituel. 12 Consacrez du temps quotidiennement Ă prier et Ă mĂ©diter la Parole de Dieu dans votre langue maternelle et aussi dans d'autres langues. Ainsi, votre esprit sera actif au lieu d'ĂȘtre passif. Les Ăcritures disent ~ Mais, vous, mes bienaimĂ©s, vous appuyant vous-mĂȘmes sur votre trĂšs Sainte-Foy et priant par le Saint-Esprit » Jude 120 [8] . 13MĂ©ditez et louez Dieu pour renforcer votre foi. La mĂ©ditation et l'acceptation de la parole de Dieu peuvent vous amener Ă croire en Dieu suffisamment fort pour agir dans la foi. 14 RĂ©sistez au doute. Adressez vos louanges Ă Dieu lorsque votre esprit s'Ă©gare et efforcez-vous de vaincre vos mauvaises pensĂ©es. Si vous croyez en notre Seigneur, vous devez le louer. Il vit parmi son peuple qui croit en lui. ~ Pourtant tu es le Saint, tu siĂšges au milieu des louanges d'IsraĂ«l » [9] . 15 Ătudiez pourquoi Dieu est vĂ©nĂ©rĂ© par son peuple. C'Ă©tait en honneur Ă Dieu que la Tente d'assignation ou tabernacle laissa la place au temple en pierres, oĂč Dieu rĂ©side parmi les hommes [10] . Ainsi, le tabernacle laissa la place Ă l'esprit fidĂšle, Ă©tant donnĂ© que Dieu a favorisĂ© son sanctuaire. » Cependant, c'est l'univers tout entier qui est le temple de Dieu. Alors pour quelle raison favorise-t-il un temple fait de main d'homme ? Dans la Bible, il est dit que le ciel est son trĂŽne, la terre est son marchepied. En outre, aucun des services des hommes ne peut lui convenir et pourtant Dieu cherche les fidĂšles pour le servir. 16Suivez JĂ©sus. Vous le ferez par la foi en la nature du Christ qui est le chemin, la vĂ©ritĂ© et la vie. Ainsi, aprĂšs le rachat et la contrition, l'esprit humain est en mesure de concevoir le temple favori qui sera la demeure du Seigneur. Conseils Pendant les pĂ©riodes extrĂȘmement difficiles, lorsque votre foi faiblit et vacille, Dieu est en fait prĂšs de vous pour vous soutenir. Vous serez plus fort si vous rĂ©sistez Ă la tentation de douter de lui. De trĂšs bonnes mesures de foi peuvent renforcer votre confiance dans votre croyance. La foi inclut l'amour des uns aux autres, Ă©tant donnĂ© que le Seigneur nous donne son amour. Dieu a dit les paroles suivantes Il faut que je m'en aille et je vous enverrai le Saint-Esprit pour demeurer avec vous Ă©ternellement. » Partagez son amour extraordinaire et son esprit avec les autres. Favorisez l'accomplissement de vos projets en renforçant vos croyances par la mĂ©ditation et la connaissance des Saintes Ăcritures. Avertissements Souvenez-vous des paroles de Salomon La principale chose, c'est la sagesse, soyez sages. » Mais la foi en Dieu ne vient pas en Ă©coutant n'importe quelle sagesse ou n'importe quelle philosophie, qui peut contredire les enseignements de la Bible. Au contraire, vous devez accepter que la Parole de Dieu se rĂ©alise selon sa volontĂ©. Ne pensez pas qu'il est possible de renforcer votre foi en Ă©tant en colĂšre contre les athĂ©es ou en dĂ©testant votre prochain. Vous pouvez ĂȘtre en colĂšre contre le pĂ©chĂ©, mais laissez-vous guider par le Saint-Esprit et l'Ăvangile. Ătudiez la Bible et appliquez la parole de Dieu, qui est une Parole d'amour. Soyez bienveillant. En ceci, tous reconnaitront que vous ĂȘtes mes Disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres », a dit JĂ©sus. Ă propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 85 659 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ?Ilfaut que je m'en aille Le temps est loin de nos vingt ans, Des coups de poings, des coups de sang, Mais qu'Ă ce la ne tienne, c'est pas fini. On peut chanter quand le verre est bien rempli. REFRAIN:Buvons encore une derniĂšre fois A l'amitiĂ©, l'amour, la joie. On a fĂȘtĂ© nos retrouvailles. Ăa me fait de la peine, Mais il faut que je m'en aille. Paroles des meilleures chansons de Graeme Allwright
Vouspouvez aller poster sur ce sujet pour y mettre vos suggestions ou idĂ©es pour faire remonter le forum, et tout ce qui vous passe par la tĂȘte. Ensemble, faisons bouger les choses ! Nous avons une nouvelle Staffienne, Ombre d'Argent! Elle est de retour dans le Staff en tant que Modette, alors c'est super ! Le deal Ă ne pas rater : Cartes PokĂ©mon :Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Stand With Ukraine! Il faut que je m'en aille traduction en italien Artiste Graeme Allwright Chanson Il faut que je m'en aille âąAlbum Graeme Allwright Traductions anglais â traduction en italienitalien/français A A Devo andarmene Il tempo Ăš lontano dai nostri vent'anni Pugni, colpi di sangue Ma ciononstante non Ăš finita Possiamo cantare quando il bicchiere Ăš pieno [Ritornello] Beviamo un'ultima volta All'amicizia, all'amore, alla gioia Abbiamo festeggiato la nostra riunione Mi dispiace, ma devo andarmeneE ricordati di quell'estate La prima volta che ci siamo ubriacati Mi hai riportato a casa Cantando, camminavamo all'indietroSono andato per cambiare stella Su una nave, ho salpato Per essere solo uno straniero Non sapendo bene dove stava andando [Ritornello] ... Non mi annoio, ma devo andarmene Ti ho parlato del mio matrimonio Al municipio di un piccolo villaggio Stavo scherzando nel mio pettorale Quando il sindaco pronunciava il mio nome Non ho scritto tutti questi anni E anche tu sei sposata Hai tre bambini a far mangiare Ma ne ho cinque, se ti puĂČ consolare AjoutĂ© en rĂ©ponse Ă la demande de ArsĂšne français françaisfrançais â Ajouter une nouvelle traduction Ajouter une nouvelle demande Traductions de Il faut que je m'en ... » Music Tales Read about music throughout history MaisdĂ©jĂ l'Esprit est la force qui unifie le grand corps de l'humanitĂ©. "Il est avantageux que je m'en aille", dit JĂ©sus. Celui qui garde ma parole, qui pratique mes commandements, celui-lĂ , celle-lĂ est un homme, une femme d'espĂ©rance qui inscrit au coeur du monde la promesse d'un monde nouveau. Un monde de justice, de vĂ©ritĂ© et d'amour. 3GSY. 477 411 417 0 475 383 246 8 54