ThisImpressions numériques item by YourWallsAreBoring has 2 favorites from Etsy shoppers. Ships from Etats-Unis. Listed on 28 juin 2022 Avec son armée de stagiaires pour alimenter les réseaux sociaux et lutter contre les "fake news", la machine de propagande des talibans est entrée dans l'ère de la modernité, même si le mouvement reste déterminé à contrôler les journalistes s'il revient au pouvoir en pour avoir interdit la télévision et la radio lorsqu'ils dirigeaient d'une main de fer le pays entre 1996 et 2001, les insurgés se sont remarquablement bien adaptés à l'ère des nouveaux porte-parole commente à présent en temps réel sur Twitter la situation sur le champ de bataille et son service dédié aux médias est en contact permanent avec les journalistes par messagerie."Les médias sont considérés comme une facette du combat", explique à l'AFP le porte-parole, Zabihullah Mujahid, via WhatsApp."Nous ne sommes pas opposés à la technologie moderne", renchérit un haut responsable taliban en lien avec le service médias."C'est nécessaire dans le contexte et cela ne contrevient pas à la charia", déclare-t-il à l'AFP, tout en reconnaissant que le mouvement peine parfois à contrôler sa chefs talibans ont accordé des interviews sans que le service médias soit tenu au courant, le contraignant parfois à démentir. Les fuites invérifiables attribuées à des sources talibanes sont nombreuses fausses pages apparaissent en leur nom sur les réseaux sociaux, tandis que leurs comptes officiels sur Facebook et Twitter sont régulièrement fermés puis rouverts sous d'autres noms. Le porte-parole Zabihullah Mujahid lui-même est soupçonné de n'exister que farfeluesLes progrès ne sont pas passés inaperçus, notamment à la représentation de l'Otan à Kaboul, où les contenus talibans sont suivis de près."Cela nous donne une idée de ce que le groupe a en tête ce jour-là", explique le colonel Knut Peters, son les talibans continuent d'exagérer le nombre de leurs victimes, la description qu'ils font de leurs actions est devenue plus précise, moins farfelue."Les talibans ont découvert que la vérité a plus d'impact que la fiction", souligne Graeme Smith, consultant auprès de l'International Crisis médias les considèrent aussi plus réactifs que les autorités."Lorsqu'un journaliste a été tué ... il y a quelques semaines, j'ai écrit au porte-parole taliban et j'ai eu une réponse en quelques minutes", souligne A. Mujeeb Khalvatgar, directeur d'un groupe de soutien aux médias. Celle de la présidence afghane se fait toujours informations demeurent toutefois sujettes à caution. "D'habitude, elles ne sont pas correctes", selon le journaliste pakistanais Tahir Khan. Mais dans un tel contexte, "la propagande psychologique est un facteur majeur", la source talibane, le haut commandement insurgé donne des instructions à une poignée de hauts responsables qui diffusent ensuite les messages en cinq langues pachtou, dari, anglais, ourdou et arabe. Les contenus multimédias sont produits par des dizaines de armée de stagiaires, dont des étudiants en journalisme et des experts en technologies, scrute les réseaux sociaux, selon la source talibane. "Ce sont des serviteurs de Dieu, des volontaires", étaient au pouvoir, les talibans contrôlaient étroitement les médias. La plupart des journalistes étrangers avaient fui et leurs homologues afghans travaillaient souvent clandestinement de peur d'être paysage médiatique afghan a connu une véritable renaissance depuis il s'est aussi attiré la vindicte des insurgés. L'Afghanistan était classé en 2018 comme le pays le plus dangereux au monde pour les talibans "à présent font un usage étendu des médias. Cela ne veut pas dire qu'ils croient en la liberté d'expression", estime M. Khalvatgar."Cela veut dire qu'ils savent comment utiliser les médias ... en tant qu'outil de propagande, pas en tant que droit des citoyens", dernières semaines, les pourparlers entre talibans et Etats-Unis ont donné lieu à des "progrès", faisant craindre à certains un retrait américain et un retour des insurgés au la source talibane, le mouvement n'a pas l'intention de fermer les médias afghans mais attend des journalistes qu'ils respectent un "code de conduite" en lien avec la charia, non défini à ce présentatrices, nombreuses actuellement, seraient exclues de l'antenne. "Il vaut mieux qu'elles restent à la maison ou qu'elles prennent une autre profession respectable", a déclaré la source les médias étrangers seraient les bienvenus, a-t-il affirmé."Nous avons abrité Oussama Ben Laden et nous lui avons offert tout notre respect parce qu'il était notre invité", souligne-t-il. "Toute personne venant d'un autre pays sera notre invité".bur-mam-np-lab-sjd-ds/st/ahe15/02/2019 084709 - Islamabad AFP - © 2019 AFP
Généralement on ne veut pas dans notre vie de personnes conflictuelles, de personnes négatives, de personnes toxiques, ni de personnes qui nous font du mal et qui violent notre paix trop facilement. Pour autant, on n’a d’autres choix que se heurter à elles tout au long de notre vie. Ces personnes ont une capacité toute particulière à provoquer l’affrontement, et il
Le Front Logement est présent depuis des années en Seine-Saint-Denis, dans les luttes contre les expulsions de logements, dans les luttes pour la réquisition de logement, et contre l’urbanisme de classe plan de rénovations.... Ses militant-es ont participé et été à l’initiative de nombreuses luttes dans le département. Voici ce que nous défendons dans ces luttes. 1/ Nous voulons construire d’urgence des solidarités et de la résistance pour le logement. 3,9 millions de personnes sont mal logées sans qu’aucune résistance globale ni unité ne soit possible. Pour nous, le chacun pour soi reviendra toujours à ce que tout le monde se retrouve dans la merde et que ce soit toujours les mêmes qui en profitent propriétaires-rentiers, promoteurs, entreprises du BTP, agences immobilières... 2/ Pour nous, la lutte pour le logement est au cœur de la lutte des classes. Par le biais des loyers et donc de la propriété privée, les propriétaires-rentiers s’accaparent les revenus des exploité-es. Avec l’explosion des loyers, l’accaparement ne fait qu’augmenter et les conditions pour se loger s’aggravent 3/Pour nous, les loyers que nous payons ne sont pas autre chose que du racket organisé sur le dos de l’ensemble des exploité-es. 4/ Pour nous, La lutte pour le logement concerne tous les exploité-es et avant tous les habitantEs des quartiers populaires. Logement trop petits, trop chers, menaces d’expulsion, la violence sociale a plusieurs visages et ses conséquences multiples scolarité bridée, vie famille et personnelle brisée, risque de perte d’emploi. Et elle devient criminelle au regard du nombre de personnes qui décèdent chaque année dans la rue depuis 2008, 6000 personnes sans domiciles sont mortes dans la rue ou de mal-logé-es ou ne pouvant plus payer, qui se suicident. En 2012 à St Denis, une femme mal-logéEs s’immole à la mairie, quinze jours plus tard, une autre femme dont le loyer était aussi élevé que son salaire, se suicidait. 5/ Pour nous, la lutte pour le logement est avant tout une lutte syndicale, ou de la même manière que les travailleuse-eurs ont à résister face au patronat pour améliorer leurs conditions de travail, les locataires et habitantEs à crédit, ont à s’opposer aux propriétaires-rentiers et aux spéculateurs pour améliorer leurs conditions de logement baisse des loyers, salubrité... 6/Nous mettons en accusation le maintien de logements vacants par l’État, les grands propriétaires 2,6millions de logements sont vides. Pourquoi ? Pour faire monter les loyers et le prix des logements. Il en va de même pour la construction de bureaux avant même celle de logements. La crise permanente du logement est organisée par une fausse pénurie de logements entretenue par les millions de logement vacants. A l’origine de cette crise » permanente du logement la recherche de profits, propre au capitalisme, et sa conséquence la spéculation. 7/ Nous dénonçons les centaines de milliers de logements insalubres qui empoisonnent 2, 3 millions d’habitant-es et leurs enfants en premier lieu. Les propriétaires et les syndicats d’immeubles laissent à pourrir les logements, avec le soutien tacite des mairies et de l’État. Face à l’insalubrité, notre action doit été tournée vers les services d’hygiène municipaux, vers les propriétaires vautours, les bailleurs, les agences immobilières et les syndics. 8/ Pour nous, la gestion par l’État des logement ne constitue pas une solution mais une partie du problème. Clientélisme des bailleurs, corruption, lois en faveur des propriétaires, plan de rénovation-nettoyage social, sont les conséquences de cette gestion. En tant que membre des organisations populaires il nous est impossible de nous y associer. Notre indépendance est notre force dans cette guerre de classe qu’est l’exploitation des travailleur-euse par la pression du logement. . 9/Nous dénonçons la rénovation urbaine comme piège à expulsion et accélérateur du nettoyage social dans les quartiers pauvres. La réappropriation des villes populaires par la bourgeoisie gentrification se met en place par la hausse des loyers, entraînés par les démolitions, les expulsions, la construction de logements chers. 10/ Pour les femmes c’est la double peine elles sont les plus précaires les plus pauvres, et de plus en plus seules avec des enfants à charge. Nous dénonçons la pression normalisante et sexiste des bailleurs qui poussent les femmes à emménager avec un conjoint. Pour elles, l’obtention d’un bail est un parcours de la combattante d’autant plus quand on est racisée. La sélection au faciès est l’une des norme principale d’attribution des logements, pratique raciste banalisée qui empoisonne les personnes non blanches ou le nom de famille qui ne convient pas. Pour les sans-papierEs, l’exclusion est totale et il leur est impossible de prétendre à un bail, dans le public ou le privé. 11/ Nous voulons l’unité des collectifs de base de lutte pour le logement. Ce n’est que par la fédération des collectifs que nous briserons l’isolement et pourrons peser réellement. Le front logement s’investit avec force depuis des années à Saint Denis, dans les luttes en soutien aux expulsé-es, aux sinistré-es, avec les familles mal-logé-es des écoles, pour la réquisition de logements et l’alliance avec les autres luttes en région parisienne dans le 93, le 94…. C’est pourquoi nous avons été partis prenant de l’ouverture du centre social Attiéké. Alors même que la situation est toujours plus dure, le pouvoir populaire s’est renforcé, nous avons pu obtenir plusieurs victoires. 12/ Nous nous inscrivons dans l’histoire méconnue des luttes pour le logement qui dès le début du XXe, réunissaient sur des bases syndicales, des centaines de milliers de locataires face à la pression et au pouvoir des propriétaires vautours. De là est né un rapport de force considérable, obtenue par l’action directe et l’auto-organisation des locataires, posant les bases d’une solidarité de classe se reconnaître membre d’un même camp, d’une même classe qui subit la dictature des propriétaires bourgeois. 13/Nous refusons la hiérarchie dans les lutte. Avoir des chefs c’est affaiblir le pouvoir populaire. Des bases hiérarchiques en permettent pas de créer de vraie solidarité, mais crée de la dépendance , du paternalisme, , le remplacement de la lutte apr du service, et peut entraîner de la compromission avec le pouvoir. La force collective repose sur l’auto-organisation des locataires et des mal-logé-es, l’éducation populaire. Sans la construction d’organisations populaire de masses, nous ne parviendrons à faire reculer la misère, ni briser nos chaînes. 14/Nous refusons le cannibalisme social, cette volonté de sauver sa peau à tout prix, quitte à marcher sur l’autre, et désigner les pauvres comme responsables de leur pauvreté. Face à cet individualisme violent, l’unité des locataires ou habitant-es à crédit, pour nous est à construire La question du logement fait partie d’une longue stratégie de division de la part de l’État entre locataire ou non d’HLM…, de ségrégation sociale et raciste dans les quartiers populaires de manière à détruire les solidarités populaires. 15/Nous défendons la réquisition des logements et leur expropriation. L’expropriation est le moyen s’assurer une réelle redistribution des richesses, et leur socialisation. La mise en commun des logements, leur gestion collective et la garantie d’un logement pour tou-tes, sont nos solutions pour assurer la justice sociale et renforcer le pouvoir populaire. Pour cela, nous défendons l’action directe contre ce qui est à la source des inégalités et des injustices les grands propriétairesvautours, l’État, les mairies, les bailleurs, les entreprises du BTP par la grève des loyers et des charges, par les occupations d’institutions et de bâtiments. Pour nous, révolutionnaires, la socialisation des logements, est le point d’appui d’une société égalitaire, libertaire, débarrassée du capitalisme. Lutterde jour et de nuit. Après la lutte suprême. La couronne nous attend. Jésus la mettra lui-même. Sur le front du combattant. C'est donc de guerre que je viens vous parler aujourd'hui, mes chers frères, comme mon texte m'y invite et comme l'indique le cantique dont je vous ai cité quelques strophes. français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche we fought we struggled we have fought we have struggledwe have been struggling we have been fighting we've struggled we've fought we battled We wrestled Pendant des décennies, nous avons lutté pour améliorer les conditions des travailleurs de nos collectivités. We fought for decades to make conditions better for the workers in our communities. Pendant la Seconde Guerre mondiale, nous avons lutté contre une tyrannie sans précédent. In World War II we fought unprecedented tyranny. J'ai attrapé son arme et nous avons lutté. Depuis lors, nous avons lutté pour le réparer. À toutes ces occasions, nous avons lutté pour faire respecter les droits et les libertés de tous. Throughout it all, we have fought to uphold the rights and freedoms of all people. Nous connaissons le prix de l'indépendance nous avons lutté 130 années pour elle. We know the price of independence; we have fought 130 years for it. Ensemble, nous avons lutté avec acharnement pour faire une avancée par rapport à Pékin. Collectively we fought hard to move forward from Beijing. Et pendant une heure, nous avons lutté contre les éléments. And for an hour we struggled against the elements. Il est très important de ne pas compromettre la démocratie pour laquelle nous avons lutté avec tant d'acharnement. It is very important that we not jeopardize the democracy for which we fought so hard. Il semblerait que la campagne d'épuration ethnique contre laquelle nous avons lutté prendra fin d'ici quelques heures. It looks as though within hours cleansing policies that we fought against will be terminated. Dans les négociations relatives au budget du Parlement pour 2012, nous avons lutté pour réduire considérablement la proposition originale de 5,7 %. In the negotiations on Parliament's budget for 2012, we fought to significantly reduce the original proposal of Troisièmement, nous avons lutté dès le début pour défendre le principe selon lequel les futures élections dans notre pays ne doivent exclure personne. Thirdly, we fought right from the beginning for the principle that the coming elections in our country must be all-inclusive. Wo Fat m'a surpris, il s'est jeté sur moi, nous avons lutté pour le pistolet, et déchargé. Wo Fat surprised me, he lunged at me, we struggled for the gun, and it discharged. Comme vous le savez, à cette époque, nous avons lutté avec acharnement pour défendre le Canada. As you know, we fought very strongly for Canada in those days. Ce n'est pas l'Afrique du Sud et la démocratie pour laquelle nous avons lutté, contre les auteurs de l'Apartheid. This is not the South Africa and democracy we fought for against the perpetrators of Apartheid. Et comme vous vous y attendiez, nous avons lutté durement pour supprimer ces menaces. And just as you might expect, we fought as hard as we could to eliminate these threats. Aujourd'hui ce n'était pas notre jour, nous avons lutté avec le vent. Today wasn't our best practice day of the season, we struggled with the wind. Voici comment nous avons lutté contre le spam en 2018. Here's more about how we fought webspam in 2018. Nous dépendions que pour le travail, et nous avons lutté parfois. We depended on that for work, and we struggled sometimes. Ainsi, pendant 200 ans, nous avons lutté face aux conséquences de ces changements. And for 200 years we struggled with the consequences of those changes. Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 343. Exacts 343. Temps écoulé 166 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots fréquents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200 Lorganisation s’est entretenue avec 55 personnes qui avaient été détenues dans des camps d’internement puis libérées. Elles avaient toutes été arrêtées pour des actes qui semblaient, selon toute norme raisonnable, absolument licites. Autrement dit, elles n’avaient commis aucune infraction pénale reconnue par le droit La guerre est un mal qui déshonore le genre humain » nous dit Fénelon Nous employons volontairement le terme guerres » au pluriel car il existe aujourd'hui différentes guerres dans le temps, l'espace sur la terre et dans les cieux et dans le genre. Dans le temps nous croyons que des guerres éclatent sur la terre entre les hommes, entre les pays, entre les races, les tribus depuis très longtemps. Aussi loin que nous remontons dans l'histoire des hommes nous relevons des guerres. Oui l’histoire nous en donne des exemples, souvent ce sont les guerres qui ont modelé les frontières des différents pays, d’autres ont été annexés, d’autres sont nés à la suite d’une guerre par exemple le Kosovo, la Slovaquie. D’autres pays sont annexés, leur population est soumise à la torture, à l’exode. Le peuple Kurde est devenu sans patrie. Tout cela provoque de nombreux morts, beaucoup de souffrance, beaucoup de handicaps et de ruines. Dans le genre en France nous parlons de la Grande guerre, de la deuxième guerre mondiale. Certains évoquent l'éventualité d'une troisième guerre mondiale ou nucléaire. Nous parlons de la guerre de cent ans, la guerre du Vietnam, la guerre du Golfe avec l’invasion du Koweït, la guerre du pétrole etc. Il existe des guerres de territoire, des guerres économiques, religieuses, la guerre des ondes, la guerre froide et aujourd’hui avec le Net nous parlons de la cybercriminalité. Des guerres de pouvoir, comme avec l'empereur Constantin et son rival Maxence. Tous les deux se retrouvaient empereurs rivaux de l’empire Romain, au quatrième siècle. Constantin gagne la bataille du pont Milvius qui l’opposa le 28 octobre 312 à Maxence. Elle doit son nom au pont de Milvius qui enjambe le Tibre à quelques kilomètres au nord est de Rome. La guerre des dieux La mythologie grecque et romaine nous apprend qu'il existe un dieu de la guerre Arès pour les Grecs et le dieu Mars pour les Romains. Quand nous étudions leur vie, nous découvrons qu'elle ressemble beaucoup à celle des hommes sur la terre aujourd’hui. Le dieu Mars est le fils de Jupiter et de Junon. Nous constatons qu’il a un père et une mère. Le dieu Mars a 12 femmes et 18 enfants dont Romulus et Remus qui ont été élevés par une louve. Même s’ils sont enfant du dieu Mars, tous les deux ont été abandonnés, peut-être rejeté. La mythologie les présente comme fondateurs de la ville de Rome et nous dit que Romulus a tué son frère Remus ensuite. Cela ressemble fort à un passage de la Bible qui nous présente deux frères Abel et Caïn. Un jour les deux frères se retrouvent dans les champs, alors Caïn, jaloux de son frère le tue et construit une ville ensuite. Est-ce simplement un effet du hasard » ? A l'origine du calendrier romain, le mois de mars était le premier de l'année car le retour des beaux jours marquait le début de la période de la reprise de la guerre après l'hiver. Son nom vient du latin Martius, nom donné à ce mois par les Romains en l'honneur du dieu Mars, dieu de la guerre. Arès, le dieu grec de la guerre était le fils de Zeus qui avait épousé sa sœur Héra. Ces différents dieux de la mythologie grecque et romaine se livraient à des guerres entre eux. Nous relevons des viols de leur fille et même des incestes, nous venons de le constater. Est-ce que ces dieux vivaient influencés par les êtres humains ou n’est-ce pas ces dieux qui influencent la vie des hommes ? Car nous croyons que ces dieux existaient bien avant les hommes. Ces dieux influencent notre langage, nous en donnons un exemple avec le dieu Eole, le dieu du ou des vents. A la suite d’une tempête qui a provoqué d’importants dégâts, le journal la Nouvelle République du Centre titrait ainsi l’événement Eole a frappé. Aujourd’hui nous parlons d’énergie renouvelable et notamment de l’implantation des éoliennes. A l’origine de ce nom, nous trouvons celui du dieu Eole et des îles Eoliennes où ce dieu habiterait. Posons-nous la question suivante est-ce qu’un être plus influent et plus puissant se cache derrière ces dieux de la mythologie ? Nous tirons une citation du livre de Michael Green, écrit en anglais I Believe in Satan’s Downfall. Ce qui signifie en français Je crois en la chute de Satan. Comme tout général d'armée capable de faire en sorte qu'on le sous-estime, Satan… Doit être enchanté de la situation actuelle, qui le laisse libre de ses mouvements, convaincu que personne ne le prendra au sérieux. Tout ce qu'il peut faire pour encourager le doute sur son existence est bienvenu. Plus il aveugle l'intelligence des gens concernant la vérité, plus ses objectifs sont atteints ». Posons-nous encore ces questions D'où viennent les génocides ? Nous en citons quelques uns génocide de la Bosnie, de celui provoqué par les khmers rouges au Cambodge, citons encore le génocide du Rwanda, du génocide en cours au Congo RDC. Pourquoi existe-t-il des régimes totalitaires, sanguinaires, pourquoi la violence, la torture, les meurtres, les viols, les trafics de drogue, les attentats terroristes, les abus physiques et sexuels des enfants ? D'où vient la puissance exercée par les sorciers ? Toutes ces guerres coûtent chers, elles provoquent la course aux armements les plus sophistiqués. Cicéron, homme politique romain qui a vécu un siècle avant notre ère, citait ce proverbe l’argent est le nerf de la guerre » La Bible nous dit que Dieu est bon, alors d'où vient tout ce mal ? Si le diable n'existe pas quelle est l'origine de tout ce désordre ? Écoutons un passage du chant de Jacques Brel dont le titre est le diable ça va écrit en 1954. Juliette Gréco interprète également ce chant. Un jour le diable vint sur terre, un jour le diable vint sur terre pour surveiller ses intérêts, il a tout vu le diable, il a tout entendu, et après avoir tout vu, après avoir tout entendu, il est retourné chez lui, là-bas. Et là-bas, on avait fait un grand banquet, à la fin du banquet, il s'est levé le diable, il a prononcé un discours et en substance il a dit ceci, il a dit Il y a toujours un peu partout, des feux illuminant la terre ça va Les hommes s'amusent comme des fous, aux dangereux jeux de la guerre ça va Les trains déraillent avec fracas parce que les gars pleins d'idéal, Mettent des bombes sur les voies, ça fait des morts originales Çà fait des morts sans confession, des confessions sans rémission, ça va Rien ne se vend mais tout s'achète l'honneur et la sainteté çà va. Aujourd’hui il inclurait certainement tous les attentats terroristes et les morts que cela provoquent. Faut-il croire dans l'existence de Satan ou du diable ? La Bible nous enseigne son existence, dans l'Ancien Testament et dans le Nouveau-Testament. Elle nous enseigne qu'il est menteur, le père du mensonge et qu'il est meurtrier. Nous citons une référence du Nouveau-Testament où il nous est dit qu'il essaie de nous tromper d'adversaire. Il nous fait combattre la chair et le sang, c'est-à-dire les hommes, car il aime que les hommes se battent entre eux ou se tuent entre eux. Ephésiens chapitre six et verset 12 Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. C’est un être spirituel, une créature qui est en révolte active contre Dieu et qui commande une multitude de démons semblables à lui-même. Il ne faut pas le sous-estimer. Il est méchant et rusé. Il aime semer la zizanie ou la discorde à tous les niveaux de la société humaine. Le danger consiste à trop s’y intéresser et d’une manière malsaine ou de nier son existence. Comment Satan est-il entré dans la vie des hommes ? Nous vivons dans un monde naturel que nous voyons, touchons, dans lequel nous évoluons. Autour de nous se situent deux royaumes spirituels ennemis Le royaume de Dieu et celui de Satan, c'est-à-dire entre le créateur et sa créature. Ils sont invisibles avec nos yeux naturels. Même s’il nous arrive d’en constater des signes, ou des manifestations Le royaume de Dieu, ou le royaume de la lumière et de la vie. Le royaume ou l’empire du diable, du péché, des ténèbres, de la mort, de Satan. Mais soit nous bénéficions des bienfaits du premier soit nous subissons les méfaits du second. Il n’en était pas ainsi quand Dieu a crée Adam et Eve Ils ont été créés à la ressemblance et à l’image de Dieu, c’est à dire parfait. Quand Dieu regardait, dans la vie d’Adam et d’Eve, il voyait son image, comme nous, nous voyons notre image quand nous nous regardons dans un miroir. Puis Dieu dit Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. Dieu les bénit, et il vit que cela était très bon. Genèse 1- 26 et 27 En créant Adam et Ève, Dieu leur a donné une identité, son identité. Adam et Ève savaient qui ils étaient, pourquoi ils avaient été créés. Cela devait durer éternellement à une condition croire ce que Dieu leur disait. Et plus précisément, croire que Dieu leur disait la vérité et ne leur cachait rien. Dieu les a créés à Son image, c'est-à-dire avec une volonté et la capacité de choisir libre de vivre avec Dieu ou sans lui, libre de choisir la vie ou la mort. Dieu n’a pas créé des robots, mais des personnes libres de l’aimer ou de le rejeter et d’en assumer les conséquences. Nous en citons un exemple que nous tirons de la Bible, dans la parabole du fils prodigue et situé dans l’évangile de Luc. Un père avait deux fils, le plus jeune lui demande sa part d'héritage qui doit lui revenir après la mort du père. Le père partage ses biens entre ses deux fils. Le plus jeune après avoir tout ramassé part pour un pays éloigné, où il a dépensé tout son bien en vivant dans la débauche. Le père n'est pas parti le chercher pour le ramener à la maison. Non, il a attendu que son fils revienne de lui-même. Tous les jours le père guettait le retour de son fils et quand il la vu. il a couru à sa rencontre et l’a saisi dans ses bras et l’a embrassé bien qu'il sentait mauvais. Le père ne lui a adressé aucun reproche. Si le père était retourné le chercher, il est possible que le fils soit revenu avec son père. Mais le père n'aurait ramené qu’un corps et non le cœur de son fils. Il ne voulait pas obliger son fils à l’aimer. Cette histoire ressemble fort à ce petit garçon de huit ou neuf ans à qui son père lui demande de s'asseoir, le garçon répond non et ceci s'est répété plusieurs fois. Finalement, en apparence le garçon obéit, il s’est assis avec un soupir. Puis il regarde fixement son père et lui dit papa je te le dis mon corps est assis, mais dans ma tête je suis toujours debout. Dieu mit deux voies devant Adam et Eve, comme il met deux voies devant chacun d'entre nous. J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité. Deutéronome 30 19 Chacune de ces voies ou chemin nous conduit vers un arbre, dont nous parle la Bible dés le début. Mais un seul conduit à l’arbre de vie, c’est pourquoi Jésus nous dit Jésus lui dit Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Jean 14-6 Chacun de ces deux arbres produit des fruits différents L’arbre de la vie, des fruits pour la vie, et l’arbre de la connaissance du bien et du mal, des fruits pour la mort. Le choix de vie, pour Adam et Eve se tenait entre ces deux arbres. L'arbre de la vie au milieu du jardin et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. Ici, il n'est pas question de pommier, encore moins de pommes et Dieu leur donna cet ordre, plus précisément à Adam Tu pourras manger de tous les arbres du jardin, mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras tu mourras certainement. Genèse 2 16 et 17 Dieu avait placé Adam et Eve dans le jardin d’Eden, ce qui signifie délice, abondance de bien, condition idéale de vie, avec un seul interdit, celui que nous venons d’énoncer. Dieu les avait béni et donné l’autorité pour dominer sur la terre. Dieu les bénit, et Dieu leur dit Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et assujettissez-la ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre. Genèse 2 28 Ils ont été crées pour avoir une relation d’amour avec lui. Dieu leur avait recommandé de ne pas faire certaines choses, comme de vrais parents donnent des consignes de sécurité, de vie à leurs enfants, par amour et pour les protéger. Dieu ne veut pas de robot, Dieu nous a crée avec une volonté, capable de choisir. Adam et Eve n’ont pas écouté, ils ont désobéi et ils en ont subi les conséquences, et leurs descendants ensuite, c'est-à-dire nous-mêmes. Comme des enfants subissent les conséquences de leurs actes et de leurs désobéissances. Mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement. Genèse 2 14 Nous constatons que la tentation ou l’invitation à la désobéissance se présente à eux. Ils ont accepté la désobéissance, les mensonges, le doute, la séduction et le désir de devenir comme Dieu sont rentrés dans leurs vies. La désobéissance les a conduits dans la rébellion contre Dieu. Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l’Eternel Dieu avait fait. Il dit à la femme Dieu a–t–il réellement dit Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent Nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit Vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. Alors le serpent dit à la femme Vous ne mourrez point. Genèse 3 1 à 4 C’est ainsi que la mort est entrée dans leur vie, la peur de Dieu, de sa voix, alors que la voix de Dieu leur était familière, ainsi que sa présence. La culpabilité, la honte, l’accusation les ont conduit à se cacher de Dieu. Mais l’Eternel Dieu appela l’homme, et lui dit Où es-tu ? Il répondit J’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Genèse 3 9 et 10 Dieu pose cette question à Adam Où es- tu ? Il faut comprendre Où es-tu spirituellement ? Qu’as-tu fait ? Dieu connaissait la situation, donc la réponse. Seulement Dieu invitait Adam à reconnaître sa désobéissance et à plaider coupable. Au lieu de cela, il prend l’attitude d’accusation et d’auto-défense. Il cherche à couvrir lui-même son péché. Nous aussi combien de fois nous voulons couvrir nos propres péchés en accusant les autres ou en disant à Dieu si j’ai péché…je te demande pardon. La réalité est toute simple j’ai péché, je le reconnais et je plaide coupable pour être délivré, pardonné. Trop souvent nous avons recours à la propre justice. Rappelons-nous ce que nous avons dit plus haut. Le péché nous amène à la mort. L’accusation mutuelle est rentrée dans leur vie, au lieu de se reconnaître coupable ou de plaider coupable. Nous trouvons là l’origine de la propre justice. Autrement dit Adam accuse Dieu d’être responsable de cette désobéissance à cause de l’épouse qu’il a placée à ses côtés. L’homme répondit La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. Genèse 3 12 Ils sont devenus pécheurs. A cause de leur nouvelle nature déchue ils ont donné naissance à des pécheurs. Nous également, nous naissons pécheurs et donnons naissance à des pécheurs. Comme un chien donne naissance à un autre chien, ou un poisson à un autre poisson, selon Puis Dieu dit Que la terre produise de la verdure, de l’herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. Genèse 1-11 Comment cela s’est-il produit ? La Bible nous dit que le serpent, le plus rusé des animaux, s'est présenté devant Ève en lui proposant de lui ouvrir les yeux, par un mensonge. Dans le but que l’interdit de Dieu devienne désirable, indispensable. Eve, séduite, a vu et cru qu’il y avait un manque à combler dans sa vie. Bien sûr à condition qu'elle mange des fruits de l'arbre de la connaissance du bien et du mal. Ève dit avoir été séduite, elle en mangea et son mari aussi. La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea. Genèse 3 6 Comme c’est troublant, Eve était habituée à voir cet arbre, jamais elle n’avait remarqué qu’il était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ». Il lui a suffit d’entendre des paroles de mensonge et de séduction pour que ses yeux s’ouvrent par le désir, et qu’elle succombe. Que s'est-il passé au cours de cette expérience ? La nature de Dieu, qui leur donnait leur identité, les a quittés, ils ont perdu l'identité de Dieu, l’ADN de Dieu en perdant sa nature. A la place ils ont reçu une nouvelle nature, la nature et l’ADN de celui qui les a dominés, trompés, séduits, celle du père du mensonge une nature de ténèbres, de mort, puisque la mort est entrée en eux, une nature hostile à Dieu, de rébellion, d’indépendance, le désir d’être autonome face à Dieu. Cette nouvelle nature leur a donné une nouvelle identité fils des ténèbres ou fils de la rébellion. Cette nouvelle identité leur a donné un nouveau nom, car à chaque identité un nom y est attaché. Leur nouveau nom le voici pécheur, fils de la rébellion, c'est-à-dire ceux qui pèchent et qui transmettent leur nature de pécheur à leurs descendants. Ceux qui se révoltent ou se rebellent. Autre conséquence la mort est entrée en eux, d'abord au niveau de l’esprit pour gagner l’âme et le corps. Cette séparation de Dieu, ou mort spirituelle les a conduit et nous conduit à la mort physique. Ils sont devenus apatrides, orphelins, vagabonds puisqu’ils ont été chassés du jardin d’Eden. La présence de Dieu les a quittés. Quelles sont les tactiques du diable ? Son but consiste à détruire. Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire. Il aveugle les gens selon le deuxième livre des Corinthiens, chapitre 4 et verset 4 pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l’intelligence, afin qu’ils ne voient pas briller la splendeur de l’Evangile de la gloire de Christ, qui est l’image de Dieu. Satan veut que l’échec soit la norme de nos vies. Il cherche à nous mettre sous de mauvais maîtres la drogue, l’argent, le dérèglement sexuel, la colère, il accuse Dieu de mentir etc.
ettoutes les femmes et tous les hommes qui souffrent dans les autres conflits de guerre ouverte dans le monde. Les syndicats signataires de cette déclaration veulent réaffirmer que le mouvement ouvrier internationaliste a toujours rejeté la guerre et prône la solidarité et l'union entre les travailleurs et les citoyens de tous les pays comme seul moyen de construire la paix
Les derniers mois ont été marqués par plusieurs phénomènes inédits un confinement simultané de plus de la moitié de la population mondiale en raison de la pandémie de Covid-19, et une mobilisation mondiale contre toutes les formes de discrimination et de racisme, après le meurtre brutal de George Floyd aux États-Unis. Y aurait-il un lien entre ces événements ? Les privations imposées à nos libertés pendant le confinement ont-elles permis une prise de conscience des inégalités et injustices inhérentes à nos sociétés ? Une nouvelle conscience morale ? Nous proposons d’examiner cette question à la lumière de la morale existentialiste de Simone de Beauvoir, autrice de Pour une morale de l’ambiguïté, qui dans l’immédiat après-guerre proposa une éthique mettant en avant l’incertitude et l’ambiguïté de la condition humaine comme fondement d’une nouvelle éthique basée sur la lutte pour la liberté de tous. Son œuvre est une ressource pour puiser la force de vivre et des raisons d’agir » dans la conscience de notre condition et des liens qui nous relient aux autres. De la vulnérabilité à l’engagement Les épidémies, comme les guerres et les situations d’extrême urgence sont des événements qui bouleversent radicalement la vie collective et individuelle, nous mettant face à notre vulnérabilité, notre impuissance et nos inévitables échecs moraux. En temps de crise, des vies et des libertés sont perdues, nous ne pouvons pas sauver tout le monde, nous ne pouvons pas respecter l’ensemble de nos valeurs. Nous devons renoncer à certaines de nos libertés, voire à certains de nos principes moraux les plus fondamentaux. Nous nous trouvons confrontés à des dilemmes insolubles, et ainsi à une conscience aiguë de l’ambiguïté de notre condition nous croyions pouvoir décider de notre vie, nous nous rendons subitement compte que des événements externes peuvent anéantir l’ensemble de nos projets. Il y a de quoi succomber au désespoir. Beauvoir nous rappelle cependant que cette conscience de l’ambiguïté de notre existence, et de sa vulnérabilité, peut et doit être le point de départ pour une nouvelle manière de penser la morale, qui met la valeur de la liberté humaine au centre de nos préoccupations. Lorsque les circonstances extérieures économiques, sociales ou politiques pèsent sur nous, il est facile de tomber dans la résignation et de fuir notre responsabilité. Une vie pleinement morale, cependant, doit être une existence authentiquement assumée – ou comme le disait Kierkegaard, une existence dans laquelle nous nous voyons comme concernés par le sort des autres et le monde qui nous entoure. Ou encore comme le dit Beauvoir L’homme ne peut trouver que dans l’existence des autres hommes une justification de sa propre existence. » Or, la période de confinement a certes été l’occasion d’une privation de liberté, mais elle a également été l’opportunité de voir se développer de nouvelles solidarités et des mobilisations exceptionnelles. Celle qui se poursuit aujourd’hui contre le racisme et la discrimination est encore une preuve que nous ne pouvons et ne devons pas nous soucier uniquement de nous-mêmes, et que les vulnérabilités individuelles et les injustices sociales sont le problème de tous. Penser la liberté pour se soucier d’autrui Aujourd’hui, nos portes et nos frontières commencent lentement à rouvrir ; plus de la moitié de la population mondiale s’est trouvée ou se trouve encore en confinement, coupée de l’espace public et des autres. Cette situation a révélé de nombreuses inégalités, et en a créé de nouvelles ; pour la première fois depuis sa création, l’indice de développement humain est en baisse, avec 265 millions de personnes qui risquent de faire face à une crise alimentaire majeure, des pertes d’emplois et de revenus, et un recul de l’accès à l’éducation. Dans certains pays, le confinement aura été un prétexte pour réprimer les oppositions politiques, dans d’autres – comme en Inde – il a provoqué des exodes de masse. Et dans d’autres encore, comme aux États-Unis, il a révélé au grand jour les inégalités sociales en matière de conditions de vie et d’accès aux soins. Dans un tel contexte, la question de la valeur de la liberté individuelle devient d’autant plus importante. Comment préserver notre liberté, alors même que nous savons devoir faire des sacrifices pour le bien public ? Comment lutter pour la liberté des autres, alors que la nôtre est déjà mise à mal ? Cependant, c’est précisément dans ces moments d’impuissance, Beauvoir nous le rappelle, que nous prenons conscience du fait que notre liberté ne peut jamais valablement s’accomplir dans l’isolement. Penser notre liberté, c’est aussi reconnaître que nos vies et nos possibilités sont inextricablement liées à celles de tous les autres. Si cette dépendance peut nous effrayer, parce qu’elle est synonyme de fragilité, c’est aussi l’occasion de développer une autre manière de penser la communauté comme une pluralité des hommes concrets, singuliers » dans leur diversité. C’est aujourd’hui que nous agissons Aujourd’hui […] nous avons bien du mal à vivre, parce que nous sommes trop appliqués à déjouer la mort, » écrivait Simone de Beauvoir en 1947. Cette affirmation vaut tout autant à l’heure actuelle, même si la situation n’a rien de comparable avec l’horreur de la Seconde Guerre mondiale et des camps de la mort. Aujourd’hui comme alors, cependant, il est nécessaire de mobiliser nos ressources pour sauver des vies et conditions de vie, et de lutter pour la dignité de la vie humaine. Aujourd’hui comme alors, les iniquités de quelques-uns et l’indifférence ou l’inaction de la majorité créent les conditions qui permettent à la haine et la discrimination de proliférer. Face à cette situation, l’éthique semble mise à mal. Dans un tel contexte, il peut nous sembler que nos choix sont limités ; nous devons faire des sacrifices, accepter des compromis. Nous constatons de plus en plus les inégalités entre les plus favorisés et les plus défavorisés au sein de notre société, entre les privilégiés et les laissés pour compte. Cette situation nous renvoie à notre impuissance, et la tentation peut être grande de jeter l’éponge et de déclarer forfait. Le message de Beauvoir est cependant tout autre quel que soit le contexte, aussi impossible, semble-t-il, c’est aujourd’hui que nous vivons et agissons, ce sont nos décisions et nos actions actuelles qui détermineront le monde de demain. Il ne faut pas attendre des jours meilleurs, la paix ou l’accalmie, pour lutter pour le monde que nous voulons voir advenir. Ce sont nos choix et actions à chaque moment qui déterminent le cours de l’histoire. En insistant sur le fait que notre liberté dépend de celle de tous les autres, elle souligne également que notre tâche doit être de lutter pour réduire les inégalités et mettre fin à des situations qui empêchent les autres de faire des choix libres. L’éthique, selon Beauvoir, ne peut jamais avoir de sens dans un contexte de repli sur soi. Vulnérabilité et espoir Mais comment agir et choisir alors que notre champ d’action est si limité ? Ce fut aussi la question pour Beauvoir, en temps de guerre, où même respirer pouvait devenir une forme de collaboration coupable lorsque ne pas résister contre l’oppression équivaut à perpétuer des systèmes inacceptables. Bien de choses ne dépendent pas de nous, c’est cette conscience profonde qui est au cœur de la morale existentialiste. Mais ce qui dépend toujours de notre pouvoir, c’est la manière dont nous nous engageons concrètement dans nos rapports aux autres. Comme Beauvoir nous le rappelle, il est facile de s’endormir au malheur d’autrui et de le compter pour peu », surtout lorsque nos propres vies ou intérêts sont en jeu. Aujourd’hui, la revendication de liberté résonne dans toutes les bouches, mais encore faut-il bien déterminer pour quelle liberté nous voulons lutter. Certains y font appel pour décrier le port du masque ou manifestent contre les mesures de prophylaxie – illustrant une dangereuse tendance à objectifier la valeur de la vie humaine, et à privilégier des considérations individuelles au bien collectif. Mais en même temps, la très forte mobilisation contre la discrimination, portée largement par des personnes qui n’ont jamais manifesté et ne s’étaient jamais considérées comme concernées jusqu’alors, par les privilégiés » comme le disent certains suivant la formule de Beauvoir, montre une autre tendance moderne celle de la revendication d’une vraie liberté pour tous, celle qui vise à garantir des conditions de vie dignes et équitables. Si la guerre, la maladie et la mort nous rappellent que nous sommes bien peu de choses dans ce vaste monde, que nos existences sont vulnérables et nos choix limités, Beauvoir nous invite à comprendre que cette reconnaissance même est la source d’une nouvelle prise de conscience de la valeur de notre existence et de celle des autres. Tirant les leçons des horreurs de la guerre, Beauvoir nous lance un message d’espoir pour notre époque [C’]est parce qu’il y a un vrai danger, de vrais échecs, une vraie damnation terrestre, que les mots de victoire, de sagesse ou de joie ont un sens. Rien n’est décidé d’avance et c’est parce que l’homme a quelque chose à perdre et qu’il peut perdre qu’il peut aussi gagner. » Aujourd’hui, nous avons tous hâte de sortir de la crise, de retrouver notre liberté » et la vie normale ». N’oublions cependant pas dans cette précipitation les leçons de Simone de Beauvoir et celles de nos expériences collectives des derniers mois notre liberté ne peut jamais être garantie que si nous travaillons également pour la liberté de tous, et ce travail passe par les choix et les actions concrètes de chacun.
Nous Communistes, nous avons défendu le Pacte germano-soviétique parce qu'il était un facteur de paix, et dès le premier mois de la guerre, alors que la répression s'était abattue sur nous, face à tous les profiteurs, affairistes et politiciens pour qui la guerre était une fructueuse entreprise NOUS AVONS RÉCLAMÉ LA PAIX par I'envoi

Généralement, on ne veut pas dans notre vie de personnes conflictuelles, de personnes négatives, de personnes toxiques, ni de personnes qui nous font du mal et qui violent notre paix trop autant, on n’a d’autres choix que se heurter à elles tout au long de notre personnes ont une capacité toute particulière à provoquer l’affrontement, et il semble qu’elles cherchent une explosion sans égards entre leurs pensées, leurs opinions, leurs émotions, leurs comportements, et les aspect conflictuel génère en nous un grand-mal être et brouille l’image que nous avons de nous-même. Elles n’ont probablement aucun problème personnel avec nous. En revanche, il est possible qu’elles mènent une grande bataille contre elles-mêmes. Finalement, comme l’a dit Gandhi, une personne en guerre contre elle-même, c’est une une personne en guerre contre le monde avons tous nos lumières et nos ombres, nous pouvons tous être des personnes conflictuellesQui n’est jamais passé par des moments de difficulté psychologique dans sa vie ? De la même façon, qui ne s’est jamais comporté de façon injuste avec quelqu’un, n’a jamais fait de mal sans pudeur et jamais éteint les sentiments, désirs ou motivations d’autres personnes ?Autrement dit, nous voulons tous éviter les personnes conflictuelles alors que même que, dans une certaine mesure, nous en avons tous déjà été une. Cependant, si on prend le temps d’y réfléchir, peut-être peut-on mieux comprendre les choses si on parle à la première qu’il en soit, il est épuisant d’avoir à ses côtés une personnes qui critique tout le temps, qui fait des commérages, qui cherche à provoquer le est épuisant de vivre avec une personne qui est toujours dans la protestation et qui déforme la réalité quand bon lui semble, générant ainsi des disputes entres deux personnes entre lesquelles régnait pourtant la précisément pour cette raison qu’il est important pour nous de prendre de la distance émotionnelle, de ne pas laisser leur négativité nous absorber, de ne pas intérioriser leurs attaques et de ne pas se sentir responsable de leurs mots méchants, lesquels peuvent en arriver à profondément nous blesser et à ébranler l’image que l’on a de les problèmes générés par les personnes conflictuellesCertains traits de caractère, caractéristiques et stratégies de défense peuvent nous permettre de détecter les personnes toxiques. Peut-être la meilleure manière d’identifier une personne conflictuelle consiste-elle à comprendre qu’elle est en guerre contre elle-même, et qu’elle n’est pas foncièrement cela, il ne faut pas oublier que Notre façon de cataloguer les gens sera déterminante pour nous au moment de nous lier à eux. Pour vivre en marge, il est important que l’on ne laisse pas cela devenir un cercle vicieux de mauvaises questions et de réponses encore pires. Certaines personnes sont conflictuelles, certes, mais notre idée à leur sujet peut fondamentalement changer si on se rend compte qu’elles ont des problèmes qui génèrent en elles des guerres émotionnelles. Nous sommes tous conflictuels à un moment donné, et dans des environnements particuliers. Une personne que l’on aime profondément peut aussi se comporter comme un guerrier qui a soif de vengeance. Ce n’est pas pour cette raison que l’on aimera moins notre compagnon/compagne, frère/soeur, fils/filles, ami/amie, mère/père. Un autre élément important pour gérer cela est de prendre de la perspective et d’éviter de tomber dans l’idée qu’il y a quelque chose que l’on a mal fait. Si on intériorise cette idée, alors la personne conflictuelle que l’on a en face de nous nous traînera dans ses tourmentes. Ne laissez pas les autres vous traîner dans leurs tourmentesOn ne peut pas laisser les autres nous traîner dans leurs tourmentes. Pourquoi ? Voici un exemple qui vous permettra de comprendre – Si une personne vient vous voir pour vous offrir un cadeau et que vous le refusez, à qui appartient alors ce cadeau ?– A la personne qui voulait l’offrir, répondit un des élèves.– La même chose vaut pour la jalousie, la haine et les insultes, dit le maître. Quand on les refuse, elles continuent à appartenir à ceux qui les portent avec personne donne aux autres ce qu’elle possède en elle, que ce soit ou non agréable. Cela ne veut pas dire que c’est cette personne qui nous fait du mal, mais que c’est nous qui donnons de la validité à ses opinions et ses d’autres termes, les offenses n’existent pas, contrairement aux architecture interne disposent des armes nécessaires pour se défendre des attaques. Les trois plus puissantes sont la prise de distance, la compréhension, et la capacité à ignorer ce qui est ce ne sont pas ceux qui nous font du mal, mais ceux qui reproduisent ce mal des milliers de peut laisser les mots être emportés par le vent, ou au contraire les laisser sous la responsabilité des autres, de ceux qui les prononcent. Nous savons tous quelle est l’éventualité qui nous conviendra le mieux.

fg3PN. 403 11 68 55 217 219 402 151 111

nous qui avons lutté dans toutes les guerres